Aumoment de sa visite, Petrozavodsk (désormais capitale de la République de Carélie au sein de la Fédération de Russie) possédait deux grandes églises en bois, dont l'une était dédiée aux saints Pierre et Paul. Qualifié de cathédrale dans certaines sources, le sanctuaire a été construit au début du XVIIIe siècle sous le règne de Pierre le Grand (1672-1725).
Pour la visite organisée dans le cadre de notre Journée champêtre » annuelle, le rendez-vous avait été fixé en 2006 devant l’église de Lespéron, en vue de la visite de cet intéressant édifice roman. Le président de la Sauvegarde, Guy Delubac, et le maire de Lespéron, Jean Linossier Notre groupe, qui bientôt atteindra une soixantaine de personnes, y est accueilli par le maire, M. Jean Linossier, qui nous présente rapidement sa commune. Celle-ci regroupe 280 habitants, sur un territoire de 2 880 hectares, aux confins de trois régions Rhône-Alpes Ardèche, Languedoc-Roussillon Lozère et Auvergne Haute-Loire. Un participant fait remarquer qu’il en était de même autrefois avec les trois provinces du Vivarais, du Gévaudan et du Velay. M. le maire nous fait également part des soucis que lui cause le projet de mise à quatre voies de la route nationale 88 qui, dans sa forme actuelle, sacrifierait de nombreuses terres agricoles de sa commune, sans aucun profit pour elle. Rappelons aussi que le hameau de Concoules, où nous nous sommes rendus lors de la journée champêtre de 2005, appartient à la commune de Lespéron. C’est là que se trouvent, outre une grosse tour carrée du xiie siècle, les vestiges de l’église Saint-Sébastien dont, dans un premier temps, la consolidation doit intervenir très prochainement, à l’initiative et avec le concours de la Sauvegarde ». L’église Saint-Hilaire de Lespéron La première mention connue de cette église date du xie siècle, époque où elle a été cédée, en même temps que deux autres sanctuaires dont nous n’avons plus aucune trace, et Saint-Martin, à l’abbaye Saint-Guilhem-du-Désert, par les seigneurs Ithier de Solignac et Pons de Jaujac. L’abbaye en fit un petit prieuré qu’elle conserva jusqu’à la Révolution. Lespéron était par ailleurs un fief des Montlaur. L'église est classée Monument historique depuis 1941. Extérieur On aborde l’église par son côté sud, devant lequel s’étend une esplanade goudronnée qui occupe l’emplacement de l’ancien cimetière. Assez vaste, l’édifice que l’on s’accorde généralement à dater du milieu du xiie siècle, est solidement construit en pierres polychromes appareillées avec soin granit blond ou gris, tuf volcanique brun, rouge et noir. Le portail qui s’ouvre au sud, protégé par un porche peu profond en granit blond, est certainement un rajout postérieur à l’époque romane. L’arcature polychrome du porche, la décoration en zigzag » ou bâtons rompus » autour du portail qui est entouré de deux larges voussures moulurées, l’une en granit, l’autre en lave rouge, forment un ensemble élégant. Très probablement, les voussures devaient autrefois reposer sur quatre colonnettes, comme cela s’observe souvent. Quand ont-elles disparu? Nul ne le sait. La toiture en lauzes déborde largement, protégeant une corniche qui court autour de l’édifice, soutenue, autour de l’abside et au-dessus du portail, par des modillons sculptés. Certains de ces modillons sont encore bien lisibles, présentant des masques humains et des têtes d’animaux. Le clocher est en peigne, comme pour de nombreuses églises du plateau. Il est encore pourvu de ses quatre cloches. Comme d’habitude, ce clocher est certainement postérieur à l’époque romane. Faisant le tour de l’édifice, nous remarquons l’abside pentagonale en lave rougeâtre et brune, percée d’une fenêtre sur chacune de ses faces. Une de ces fenêtres au moins a certainement été refaite, car elle est beaucoup plus large que les autres et n’est pas ébrasée. D’ailleurs, trois pans de l’abside semblent avoir été repris, à une époque indéterminée. Le soubassement en grosses pierres irrégulières est ici apparent, laissant supposer un abaissement du niveau du sol en cet endroit. Continuant le tour de l’édifice, nous observons contre le mur nord, d’énormes piliers servant de contreforts. Enfin, à l’angle nord-ouest, notre attention est attirée par un élément sculpté au-dessus d’un pilastre. Son style est difficile à identifier. Il présente des feuilles d’eau à la partie inférieure et, au-dessus, un damier et un motif de feuilles parallèles, étroites et allongées. Peut-être un remploi, puisque l’on sait que des édifices antérieurs ont existé à Lespéron. Intérieur Formée d’une unique nef en berceau de trois travées, dont une travée de chœur plus courte, il s’agit sans conteste d’une construction romane. L’abside est pentagonale comme à l’extérieur. La nef est rythmée par des arcs doubleaux en lave sombre qui ressortent bien sur l’enduit blanc, récemment refait, de la voûte et des murs. La décoration mérite qu’on s’y attarde. Dans l’abside et la première travée, des chapiteaux en tuf volcanique, grossièrement sculptés de motifs végétaux, semblent très anciens, certains peut-être préromans. Entre la deuxième et la troisième travée, ce sont deux chapiteaux historiés qui retiennent notre attention. Côté sud, on voit un mouton enlevé par deux rapaces. Côté nord, l’interprétation est plus difficile. Le sujet principal est un personnage, que certains auteurs interprètent comme une femme allaitant des dragons, tandis que d’autres y voient une sirène à deux queues. Il est évident que ni l’une ni l’autre de ces lectures ne résiste à un examen attentif… mais nous n’avons pas trouvé jusqu’ici d’autre interprétation. Ce chapiteau comporte un autre sujet sur sa face latérale gauche, difficile à discerner du fait de l’usure sous bon éclairage, on peut néanmoins deviner un personnage qui maintient à deux mains la tête d’un serpent qui arrive au niveau de son menton, tandis que le corps du reptile lui enlace la jambe droite. Nous verrons un motif tout à fait analogue au portail de l’église de Coucouron. Notons enfin qu’au-dessus des personnages, ce chapiteau est orné d’une frise dont le motif rappelle celui de la pierre extérieure encastrée à l’angle nord-ouest de l’église. Nous nous rendons ensuite à quelques centaines de mètres de l’église, sur une petite place au centre de laquelle se dresse une croix métallique dont le socle en pierre semble dater de la Renaissance, la croix de Pereire. On devine sur le socle une inscription très effacée ; il semble que l’on puisse y lire CRUS AVE », suivi de petits dessins, puis d’autres mots indéchiffrables. Mais nous sommes aussi venus là pour observer, dans un pré contigu, un curieux monument formé par la superposition de trois grosses pierres à base circulaire, de taille décroissante, formant un ensemble d’environ 1,50 m de hauteur, surmonté d’une croix. Il existe dans les environs deux autres édifices identiques. Il s’agirait des pierres de bornage du domaine du prieuré. On aperçoit au fond les trois pierres superposées qui marquaient, pense-t-on, la limite du domaine du prieuré. On connaît deux autres monuments identiques dans le voisinage. Celui que nous voyons ici se trouve au bord de la route, à la sortie sud du village. Concoules Le hameau de Concoules, qui appartient à la commune de Lespéron, est situé juste au-dessus de l’Allier dont le sépare la voie ferrée de la ligne Clermont-Ferrand - Nîmes. À quelques centaines de mètres du village, on peut voir les vestiges d’une petite église et une imposante tour, deux monuments intéressants, mais complètement délaissés. Extérieurement, la tour a encore fière allure. Haute d’une vingtaine de mètres, de dix mètres de côté, elle est construite en pierres de granit soigneusement appareillées. Les fenêtres sont rares, mais assez grandes ; la plupart sont agrémentées de moulures, un linteau est décoré d’une accolade et il semble qu’il y ait eu des meneaux à certaines d’entre elles. Un escalier extérieur à double volée permettait d’accéder au premier étage, mais il n’est plus qu’un tas de pierres. L’intérieur de la tour est malheureusement complètement ruiné, car la toiture s’est effondrée en 1986 sous le poids de la neige et n’a pas été remise en état. On remarque encore que la plupart des pierres d’angles sont à bossage et peut-être certaines étaient-elles sculptées. Il s’agissait donc d’une construction soignée. Mais que savons-nous de ce monument ? Bien peu de choses en vérité. Il ne semble pas que ce fût le donjon d’un château, dont on n’a trouvé aucune trace, et il est difficile d’imaginer quel pouvait être son rôle. À l’écart de toute voie de communication importante, placé à quelques centaines de mètres de l’Allier dans un repli du terrain d’où la vue est limitée par la masse imposante du volcan du Chapelas, il ne semble pas que ce bâtiment ait pu jouer un rôle stratégique. De telles tours isolées, dont il existe d’autres exemples dans la région, pouvaient être simplement signe de la possession du territoire par le seigneur auquel elles appartenaient, en l’occurrence la famille d’Arlempdes. » , selon Marcel Girault que nous avons interrogé à ce sujet. M. Girault est l’auteur d’une étude très détaillée du chemin de Regordane qui, s’il ne passe pas à Concoules, n’en est pas très éloigné GIRAULT M., Le chemin de Regordane. Nîmes Lacour, 1988. Nous disposons d’un peu plus de renseignements au sujet de l’église voisine de la tour, dont malheureusement seule subsiste la façade ouest percée d’un joli portail gothique et qui était surmontée d’un petit campanile dont seul un jambage est encore debout, pour peu de temps sans doute si des mesures de conservation ne sont pas prises rapidement. C’est pourquoi la Sauvegarde » a récemment proposé son concours au maire de Lespéron pour l’aider, dans un premier temps, à consolider l’existant et, peut-être, envisager ensuite de rétablir l’intégralité du campanile. Depuis la rédaction de ce compte rendu, les travaux de consolidation du jambage gauche ont effectivement été réalisés. On sait, d’après le cartulaire de l’abbaye Saint-Chaffre du Monastier, que, comme nombre d’autres églises du diocèse de Viviers, Saint-Sébastien de Concoules faisait partie des possessions du prieuré de Langogne, lui-même dépendant de Saint-Chaffre. Elle fut église paroissiale jusqu’à la Révolution. Les façades, la toiture et les cheminées du 1er et 3e étages de la tour ont été inscrites sur la liste supplémentaire des Monuments historiques en 1982, ce qui n'a pas empêché, on l'a vu, l'effondrement de la toiture quatre années plus tard. Les vestiges de l'église ont également été inscrits à la même date.
Vêtementsenfant et bébé sur le thème Clocher Blanc, personnalisés par des artistes. Cadeaux originaux : t-shirts, masques, bodies et sweats à capuche. Cet été, le Petit Bleu vous propose un voyage dans le Lot-et-Garonne rural, à la découverte des églises et chapelles remarquables. Un patrimoine essentiellement roman, qui mérite le détour. Ci-dessous, une idée de balade à faire non loin de là ! Direction Cuzorn et l’église Saint-Martin. La paroisse est mentionnée au XIIIe siècle par Jean de Valier qui expliquait que la dîme est restituée à l’évêque d’Agen. L’église de Cuzorn précède le château. Elle a d’abord été une église de pèlerinage à Saint-Julien de Brioude qui a été construite à la limite entre le XIe et le XIIe siècles. Elle a été construite à nef unique se terminant par une abside en semi-circulaire, un transept sur lequel viennent se greffer deux absidioles qui encadrent l’abside. Le chevet de l’abside et des absidioles sont décorés de modillons et de métopes perforées. L’église de Cuzorn est similaire à l’église Saint-Front de Saint-Front-sur-Lémance. À la suite de la visite de 1601, l’évêque d’Agen, Nicolas de Villars, note "L’église de Cuzorn est entièrement découverte excepté ce qui couvre l’autel qui a été rompu... Il y a deux chapelles à côté du grand autel qui ont les autels rompus. L’église et le cimetière sont pollués par sépulture de huguenots dont il y a quelques maisons..." À la fin du XVIIIe siècle, le sanctuaire est voûté et la nef reconstruite est lambrissée. Chaque absidiole est une chapelle. Celle de droite était dédiée à Notre-Dame du Rosaire celle de gauche à saint Aurély. Dans cette chapelle, la femme d’un châtelain de Cuzorn a fondé une chapellenie sous le vocable de Saint-Aurély. Le clocher à cinq ouvertures est en pignon au-dessus de l’arc triomphal. Des travaux de réparation sont faits en 1818 sous la direction de l’architecte Hillac. Un décor peint est réalisé en 1839 par Franconi. La nef est reconstruite dans le 4e quart du XIXe siècle. Le clocher porche est édifié en 1879, achevé en 1880. Le clocher est réparé en 1930 après un incendie. L’église Notre-Dame a été inscrite au titre des monuments historiques en 1925 Le château de CuzornLe site de Cuzorn est établi dans un goulet de la vallée de la Lémance et permet d’en contrôler l’accès mais on n’en connaît pas l’origine. La première mention de Cuzorn a été trouvée dans les ruines de l’abbaye de Belleperche sur une inscription datée de 1242. Mais des vestiges préhistoriques font remonter l’histoire de la commune à des temps immémoriaux. L’ensemble le plus remarquable de Cuzorn est bien sûr son château inscrit au titre des monuments historiques en 1950. Dans la correspondance de l’administration du comte de Toulouse sont cités les seigneurs du château de Cuzorn. Dans une autre correspondance du 20 février 1270 apparaît le nom d’Amalvinus de Cuzorn en conflit avec l’évêque d’ pourrait donc en déduire que le castrum de Cuzorn a été construit entre 1260 et 1270. En 1293, Auger de Cuzorn détient la haute et basse justice sur la juridiction. Site isolé sur un éperon, à l’extrémité duquel se dresse le donjon. Base d’un bâtiment en abside construit en petit appareil de moellons équarris, éclairé par une étroite fenêtre à arc monolithe, interprété par G. Séraphin comme étant la chapelle castrale du 11e ou du XIIe siècle. Vestige d’une salle du XIIe siècle dotée d’un angle arrondi, flanquée d’une tour à contreforts plats médians du XIIIe siècle. Le château a été assiégé puis rasé en 1442 par le sénéchal du Quercy. La reconstruction a eu lieu durant la 2e moitié du XVe siècle, d’abord d’une tour puis du logis seigneurial. Des éléments ont été détruits partiellement en 1794, comme un linteau de porte qui a été déplacé au lieu dit Lescarcelle. On retrouve aujourd’hui des vestiges du donjon et de l’enceinte.
\n \n\nclocher d église sur une tour isolé
LaUne Le fil info Commentaires Partager Accueil Société Régions Namur-Luxembourg Ce soir, une cloche de 2 tonnes coulée à Arlon. Événement historique ce vendredi soir dans le chef-lieu : le coulage d’une nouvelle cloche pour l’église Saint-Martin. Ce sera aux alentours de 21h30, sous la houlette de société française André
Copié00h00, le 24 décembre 2011, modifié à 00h00, le 24 décembre 2011 Une tour, une ou plusieurs cloches, voilà qui suffit aux plus mécréants d’entre nous pour reconnaître un clocher. Mais voilà, que faire des vocables campanile et beffroi qui décrivent peu ou prou le même concept ?Même si ces derniers, des systèmes d’alarme à l’origine, n’ont pas connu une même fortune dans notre beau pays de France. Alors, pour citer Boris Vian Y’a quelque chose qui cloche là-dedans, j’y retourne immédiatement ! ».Une tour, une ou plusieurs cloches, voilà qui suffit aux plus mécréants d’entre nous pour reconnaître un clocher. Mais voilà, que faire des vocables campanile et beffroi qui décrivent peu ou prou le même concept ?Même si ces derniers, des systèmes d’alarme à l’origine, n’ont pas connu une même fortune dans notre beau pays de France. Alors, pour citer Boris Vian Y’a quelque chose qui cloche là-dedans, j’y retourne immédiatement ! ».Etymologiquement, aucune surprise à craindre puisque la racine cloche s’impose pour notre clocher, même si l’origine de cette dernière a posé, et pose encore, quelques difficultés. A priori, ce serait un dérivé du latin médiéval clocca, lui-même issu d’une langue celtique qui aurait donné, par ailleurs, l’anglais clock ou l’allemand glocke, qu’on doit prendre ici au sens de signal ».Un autre son de d’entrée de jeu les nombreux sens de clocher » au nombre desquels le synonyme du verbe boiter qui puise son étymologie dans une toute autre racine et dont il ne nous reste plus que le clochard, l’insulte pauvre cloche » ou ce quelque chose qui cloche ». Et attachons-nous plutôt à cette tour indissociable de nos églises, un clocher lié à la chrétienté, ce qui en exclut Grecs et Romains. Pourtant, jusqu’au VIIIe siècle, nos églises ne comportaient pas de clocher même si la nécessité de se mettre à l’abri des incursions barbares avait contraint nos anciens à la construction de tours défensives. Qu’on ne tarda pas à garnir d’une ou de plusieurs cloches pour avertir les populations d’un danger imminent, certes, mais surtout pour marquer les offices religieux et convoquer les symbole du pouvoir tours qui devinrent rapidement symboles de puissance car, enfin, un simple campanile ou un beffroi eussent suffi à faire sonner ces cloches si les ecclésiastiques n’avaient apporté autant d’intérêt, et d’argent !, à la construction de leurs clochers, parfois aux dépens de l’église elle-même. Faisant ainsi montre de leur pouvoir face à des châtelains constructeurs de châteaux toujours plus faudra attendre le XIIIe pour que le clocher s’intègre à l’édifice religieux, d’un point de vue purement immobilier il n’est plus à l’écart de l’église mais aussi architectural puisque, jusqu’alors, il présentait le plus souvent une esthétique très différente de celle de l’église proprement dite, se soumettant davantage aux traditions locales. Et c’est bien là que le clocher se distinguera du campanile, comme nous le verrons ci-après, ce dernier n’étant pas rattaché à un édifice s’agit, tout simplement, d’une construction qui ne retiendrait aucun sous-entendu religieux ou, si vous préférez, d’un clocher qui ne serait pas à proximité d’une église ! Un vocable emprunté à l’italien, lui-même issu du latin campana cloche ou plutôt clochette car les Romains ne connaissaient pas les grosses cloches. Une tour laïque » qui n’a pas fait florès dans le pays fille aînée de l’Eglise catholique au contraire de l’Italie avec, notamment, les célèbres campaniles de Crémone, de Florence, de Bologne mais surtout de Pise avec son petit air penché…. A telle enseigne que le mot campanile, aujourd’hui, ne décrit plus que cette sorte de lanterne qui abrite une cloche au sommet d’un notant, au passage, que le vieux français campane cloche a donné les adjectifs campaniforme et campanulé qui décrivent une forme en cloche comme le muguet ou la tulipe, par exemple.Le l’origine, et ce depuis l’Antiquité, les beffrois étaient des tours de bois mobiles qui permettaient aux soldats de s’approcher des murailles d’une ville assiégée. Ce dont les Romains faisaient un usage fréquent dans leurs guerres impériales, et que reprirent à leur compte nos ancêtres les fil des siècles, assez logiquement, ces beffrois se muèrent en tours de gardes, fixes cette fois, au sommet desquelles les sentinelles avertissaient les villageois du danger, à l’aide de cloches le cas échéant. Une fonction qui fut rapidement reprise à son compte par l’Eglise, marquant ainsi la disparition inexorable de ces d’un point de vue strictement architectural, on appelle également beffroi la charpente de support des cloches ; une construction de bois isolée de la tour pour éviter que les vibrations des cloches ne se communiquent à la construction et n’endommagent le la cloche de l’on déduira que dans nos trois cas de figure, il s’agit bien d’une tour comportant en son sommet une ou plusieurs cloches. Le distinguo s’opérant, de nos jours, selon que cette tour est liée à une église notre clocher, indépendante ou désignant le sommet d’un édifice portant cloche le campanile, ou tour de guet et d’alarme le beffroi.Retrouvez tous nos articles immobiliers sur Lessolutions pour CLOCHER D EGLISE SUR UNE TOUR ISOLEE de mots fléchés et mots croisés. Découvrez les bonnes réponses, synonymes et autres mots utiles. Outils Utiles . Wordle Mots Croisés Générateur d'Anagrammes Crée des mots avec les lettres que tu as à ta disposition Répondre Classement. Codycross; Définitions du Jour; Les plus recherchés. Complot Dans Le
La tour penchée La tour penchée de saint Martin d'Etampes Etampes peut se flatter d'avoir sa Tour Penchée le clocher de l'église Saint-Martin. Ce clocher se trouve devant l'église commencée en 1140, les travaux se sont poursuivis jusqu'au début du 13 ème siècle 1215 ,l'édifice fut consacré en 1526. Il y eut d'abord un clocher dit de "la Reine Blanche" qui existait au 13e siècle; Ce clocher tombant en ruines, on construisit un autre clocher au 14e siècle. Mais l'église étant bâtie sur un terrain instable, le nouveau clocher dans un mouvement d'affaissement entraînait toute la partie de l'église sur laquelle il s'appuyait. Il fallut le démolir et il fut remplacé au 16e siècle par celui que nous voyons aujourd'hui, à l'origine isolé du reste de l'église, à la manière des campaniles italiens. Celui-ci ne résista pas non plus à l'affaissement du terrain et pendant la construction il s'inclina. obligeant le maître d'œuvre à d'incessantes corrections d'angle qui donnent à la tour une courbure inusitée en arc de cercle et son caractère penché. Son manque d'aplomb est de 112 cm,et sa hauteur de 40 mètres. Ce clocher, achevé en 1537, fut réuni au reste de l'église en 1873. Ce qui accentue la beauté de Saint Martin, c'est son chœur arrondi, entouré d'un déambulatoire qui permet d'en faire le tour, et d'accéder aux trois chapelles situées dans l'abside .Le transept ne déborde pas à l'extérieur. D'ouest en est, 3 styles se suivent les absidioles sont romanes le chœur et la nef gothiques. De cet ensemble se dégage une impression de grandeur, l'église mesure 80m de long,35 de large ,18m de haut La superficie totale donne mètres carrés. La chapelle située à gauche du chœur est dédiée au patron des vignerons, saint Vincent, celle de droite est dédiée à saint Martin patron de la paroisse, c'est une grande église. v • d • e N 20 - Roadbook de la RN 20Roadbook route nationale 20ROUTE NATIONALE 20 plan interactif les villes ce qu'il faut savoir à faire à proximité à voir les photos les news histoire locale gastronomie bibliographieLes autres roadbooksRN 1 - RN 2 - RN 3 - RN 4 - RN 5 - RN 6 - RN 7 - RN 8 - RN 10 - RN 12 - RN 13 - RN 19 - RN 20 - RN 75 - RN 85 - RN 90 - RN 94 - RN 134 - RN 165 - RN 190 - RN 202 - RN 205 - RN 504 - RN 618 Magazine Route Nostalgie Historique de la RN20 sur WikiSara
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Ilpeut être naturel - sommet d'une colline ou d'une montagne, rocher isolé en mer , ou artificiel - balise, phare, bâtiment identifiable sur la côte tel qu'un clocher d'église, un château d'eau, une maison isolée ou une cheminée d'usine. Les instructions nautiques indiquent les amers remarquables qui pourront assister le marin.

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Léglise date du XII siècle. Le porche ou le gimmel fut construit vers le XIII siècle et le clocher fin XIII début XIV, c'était une tour carrée massive de style roman élevé d'environ 25 mètres et se terminant en plate forme.
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On le retrouve sur le chantier du château d'Amboise 1495-1496 , puis il est appelé à Blois lors des transformations apportées au château sous Louis XII. Il travaille enfin pour le cardinal d […] […] Lire la suite BUNSHAFT GORDON 1909-1990 Écrit par Universalis • 368 mots Architecte américain, né le 9 mai 1909 à Buffalo, dans l'État de New York, mort le 6 août 1990 à New York. Après avoir étudié à l'Institut de technologie du Massachusetts, Gordon Bunshaft voyage et poursuit sa formation en Europe et en Afrique du Nord grâce à une bourse. En 1937, il commence à travailler à l'agence qui prendra le nom de Skidmore, Owings & Merrill en 1939 et y restera qu […] […] Lire la suite BURDJ Écrit par Nikita ELISSÉEFF • 599 mots Élément principal des fortifications élevées en terre d'Islam dans les années postérieures à la conquête, le burdj subit comme celles-ci les transformations successives imposées par l'évolution de la technique militaire. Le terme désigne tantôt une tour qui flanque le rempart, tantôt un ouvrage haut et solide, donjon, bastion ou tour isolée. On trouve en Orient des tours massives et arrondies dès […] […] Lire la suite BURNHAM DANIEL HUDSON 1846-1912 Écrit par Universalis • 648 mots Architecte et urbaniste américain, né le 4 septembre 1846 à Henderson, dans l'État de New York, mort le 1 er juin 1912 à Heidelberg, en Allemagne. La famille de Daniel Hudson Burnham s'installe à Chicago alors qu'il est âgé de huit ans. Après le lycée et plusieurs faux départs, il suit une formation dans le bureau d'architecture Carter, Drake and Wight. Il y rencontre John Wellborn Root avec […] […] Lire la suite CAMPANILE Écrit par Maryse BIDEAULT • 291 mots Issu de l'italien campana qui signifie cloche d'église », le terme de campanile a plusieurs acceptions. Dans l'architecture italienne, le campanile est une haute tour d'église abritant des cloches et qui est située généralement en hors-oeuvre, flanquant la façade de l'édifice au nord ou au sud. Hautes de plusieurs étages et dominant nettement la toiture de l'église, ces tours sont construites s […] […] Lire la suite CAROLINGIENS Écrit par Robert FOLZ, Carol HEITZ • 12 125 mots • 7 médias Dans le chapitre Vers une formule architecturale synthétique » […] À Metz, Chrodegang, premier évêque et chancelier du royaume 742-766 avait organisé son chapitre cathédral à la manière d'une communauté monastique. Autour d'un cloître claustrum étaient groupées plusieurs petites églises, la plupart de forme basilicale, l'une d'elles – Saint-Étienne – jouant le rôle de cathédrale. Mais les offices liturgiques les plus importants, notamment ceux de Pâques, av […] […] Lire la suite CHÂTEAU FORT Écrit par Michel BUR • 3 299 mots • 8 médias Dans le chapitre Le donjon à motte » […] La motte, qui mesure jusqu'à 100 mètres de diamètre à la base et 20 mètres de hauteur, est un tertre en terre partiellement ou totalement artificiel, de forme ronde, au profil convexe ou tronconique, toujours entouré d'un fossé. Il en subsiste de nombreux exemplaires à travers toute l'Europe, de la Vistule à l'Angleterre, de la Calabre à la Scandinavie, non seulement dans les zones basses et maréc […] […] Lire la suite CLUNY Écrit par Jacques DUBOIS, Carol HEITZ • 3 324 mots • 3 médias Dans le chapitre Cluny II ou Saint-Pierre-le-Vieux » […] Un premier coup d'œil sur le plan du monastère connu grâce à une restitution par Conant indique une parenté évidente avec le plan idéal de Saint-Gall env. 820. Le cloître se trouve sur le flanc sud de l'église ; il comporte dans son aile orientale, au rez-de-chaussée, la salle capitulaire et l'auditorium ; à l'étage, le dortoir ; l'aile sud tout entière est occupée par le réfectoire ; enfin u […] […] Lire la suite CONSTRUCTIONS MÉTALLIQUES Écrit par François CIOLINA • 5 357 mots • 5 médias Dans le chapitre Les immeubles de grandes hauteurs » […] Ces immeubles plus de vingt niveaux en général constituent un domaine d'application particulier de la charpente métallique. Les planchers sont supportés par des solives servant d'appui aux coffrages perdus pour le coulage du béton. Dans certaines tours, la tour Maine-Montparnasse notamment, le noyau central est en béton. Mais dans beaucoup de réalisations, en particulier aux États-Unis, la part […] […] Lire la suite COURTINE Écrit par Maryse BIDEAULT • 69 mots Terme d'architecture militaire désignant une muraille de défense réunissant deux tours ou deux bastions. La hauteur des courtines doit être réglée sur les possibilités de l'escalade seuls les tours et les bastions sont montés très hauts, les courtines demeurant toutefois plus élevées qu'une grande échelle. Elles sont généralement crénelées et abritent un chemin de ronde. […] […] Lire la suite DAKHMĀ Écrit par Jean VARENNE • 292 mots Nom donné aux édifices ou tours du silence » dans lesquels les adeptes du mazdéisme exposent leurs morts. Selon la religion prêchée par Zarathoushtra Zoroastre au ~ vii e siècle, en effet, les quatre éléments constitutifs de l'univers terre, eau, air, feu étaient tenus pour sacrés et ne devaient en aucune façon être souillés par l'homme. Or, la mort physique représentait l'impureté rituelle […] […] Lire la suite DE KLERK MICHEL 1884-1923 Écrit par Roger-Henri GUERRAND • 687 mots Né, et mort, à Amsterdam dans une famille modeste et nombreuse, Michel De Klerk n'eut pas la possibilité de poursuivre des études d'architecte de façon classique. Il apprit son métier dans l'agence d'Édouard Cuypers, le neveu du constructeur du Rijksmuseum, tout en suivant des cours du soir. De Klerk profita largement de l'ambiance chaleureuse qui régnait dans ce bureau ; Cuypers permettait en eff […] […] Lire la suite DOMINIQUE PERRAULT ARCHITECTURE exposition Écrit par Simon TEXIER • 1 014 mots Après Christian de Portzamparc 1996, Renzo Piano 2000, Jean Nouvel 2001, Morphosis 2006 et Richard Rogers 2007, le Centre Georges-Pompidou a présenté du 11 juin au 22 septembre 2008 la première grande exposition consacrée à l'architecte de la Bibliothèque nationale de France, Dominique Perrault. Conçue et mise en scène par Perrault lui-même, avec Frédéric Migayrou comme commissaire du […] […] Lire la suite EIFFEL GUSTAVE 1832-1923 Écrit par Frédéric SEITZ • 1 599 mots • 5 médias Dans le chapitre Le constructeur métallique » […] Comme beaucoup d'ingénieurs constructeurs de la fin du xix e siècle, Gustave Eiffel prône une utilisation du métal – matériau alors nouveau – qui met en valeur non seulement ses caractéristiques constructives, mais aussi ses propriétés plastiques. Les réalisations des Établissements Eiffel exploitent toutes les qualités mécaniques du fer sa résistance, son élasticité, sa légèreté, sa durabil […] […] Lire la suite EIFFEL TOUR Écrit par Simon TEXIER • 229 mots • 1 média Œuvre emblématique de la construction métallique et symbole de Paris, la tour doit son nom à l'entrepreneur qui assuma, seul, les risques de sa mise en œuvre, Gustave Eiffel 1832-1923. Associé aux ingénieurs Maurice Kœchlin et Émile Nouguier, ainsi qu'à l'architecte Stephen Sauvestre, Eiffel remporte en 1887 le concours organisé en vue d'élever, pour l'Exposition universelle de 1889, une tour de […] […] Lire la suite ENCEINTES Écrit par Philippe LEVEAU • 5 790 mots • 5 médias Dans le chapitre Les éléments du rempart » […] Le soin apporté par la collectivité à la construction d'une enceinte est constant ; celle-ci comporte toujours un certain nombre d'aménagements caractéristiques de sa fonction défensive. Les premiers sont les tours dont on fera la typologie. Il en existe deux formes principales les tours carrées ou quadrangulaires et les tours rondes qui, dans l'architecture grecque au moins, leur sont postérie […] […] Lire la suite GARES, architecture Écrit par Karen BOWIE • 5 339 mots • 1 média Dans le chapitre Styles et typologie » […] L'étude de l'architecture ferroviaire a été marquée par l'épineuse question de la notion de style ». D'une part, les styles architecturaux historiques ont énormément préoccupé les architectes du xix e siècle, et cette préoccupation se retrouve dans l'éclectisme ou dans l'historicisme des gares de cette période. D'autre part, on a pu, plus récemment, tenter de définir un style pour toute l'arch […] […] Lire la suite GRAHAM BRUCE JOHN 1925-2010 Écrit par Universalis • 458 mots L' architecte américain, Bruce John Graham conçut certains des gratte-ciel les plus hauts et les plus emblématiques au monde. S'inspirant du style de Mies van der Rohe, il opta pour des constructions modernistes aux lignes pures, sans ornement, et utilisa des contreventements qu'il exhiba en façade afin de renforcer la solidité de ses bâtiments et d'agrandir l'espace intérieur consacré aux bureau […] […] Lire la suite HABITAT L'habitat gréco-romain Écrit par Bernard HOLTZMANN • 6 537 mots • 16 médias Dans le chapitre Maisons rurales fermes et villas » […] Jusqu'à présent, aucun village antique n'a été fouillé en Grèce, bien que nombre d'entre eux aient été repérés ; on n'a donc aucune idée de l'habitat rural aggloméré. En revanche, quelques fermes ou maisons isolées ont été fouillées, notamment sur le territoire d'Athènes. Les relevés archéologiques survey de territoires entiers îles ; cités, régions, achevés mais non encore publiés ou en cou […] […] Lire la suite HOLABIRD WILLIAM 1854-1923 Écrit par Universalis • 347 mots Architecte américain, né le 11 septembre 1854 à Amenia Union, dans l'État de New York, mort le 19 juillet 1923 à Evanston, dans l'Illinois. En 1875, William Holabird quitte l'académie militaire de West Point dans l'État de New York, où il est entré deux ans auparavant, et va s'installer à Chicago. Il travaille comme dessinateur pour William Le Baron Jenney, puis pour agence Burnham et Root. En 18 […] […] Lire la suite JUMIÈGES ABBAYE DE Écrit par Maylis BAYLÉ • 984 mots • 1 média Fondé par saint Philibert en 654, le monastère colombanien, puis bénédictin, de Jumièges prospère jusqu'aux invasions normandes qui le ravagent à partir de 844. Relevé en 928 par Guillaume Longue Épée, il est à nouveau pillé après l'assassinat de ce duc. L'église Saint-Pierre, bâtie vers la fin du x e siècle, l'édification de l'abbatiale Notre-Dame marquent les étapes du nouvel essor de l'abbaye […] […] Lire la suite KHAN FAZLUR 1929-1982 Écrit par Universalis • 348 mots Ingénieur américain d'origine indienne, né le 3 avril 1929 à Dacca, au Bengale oriental Pakistan oriental en 1947 auj. Dhaka, Bangladesh, mort le 27 mars 1982 à Djeddah, en Arabie Saoudite. Après avoir obtenu son diplôme d'ingénieur à l'université de Dacca en 1950, Fazlur Rahman Khan entre aux ponts et chaussées indiens comme second de l'ingénieur en chef et enseigne à l'université. En 1952, gr […] […] Lire la suite KUROKAWA KISHŌ 1934-2007 Écrit par Marc BOURDIER • 1 393 mots Fils d'architecte, Kurokawa Kisho plus connu avant 1970 sous le nom de Kurokawa Noriaki est né au Japon à Nagoya en 1934. Diplômé de l'université de Kyōto en 1957, il entre alors dans l'agence du célèbre architecte Kenzo Tange 1913-2005 et y travaille notamment à l'élaboration du plan d'aménagement de la baie de Tōkyō 1960. Il ouvre sa propre agence à Tōkyō en 1961. Dès 1960, il prend une p […] […] Lire la suite LANTERNE, LANTERNEAU ou LANTERNON, architecture Écrit par Maryse BIDEAULT • 196 mots • 1 média Le terme de lanterne désigne, dans l'architecture religieuse médiévale, une tour haute et massive, très ajourée, placée généralement à la croisée du transept ou au centre des églises à plan non basilical. L'abbatiale de Cluny en Bourgogne était dotée d'une lanterne sur chaque bras du transept. D'origine carolingienne, la tour-lanterne caractérise l'architecture romane et gothique en Normandie, où […] […] Lire la suite LOGEMENTS COLLECTIFS DE L'APRÈS-GUERRE repères chronologiques Écrit par Simon TEXIER • 810 mots 1947-1952 Unité d'habitation, Marseille, Le Corbusier 1887-1965. Grâce à l'appui du ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme, Le Corbusier peut, pour la première fois, mettre à l'épreuve son projet de Cité radieuse » imaginé avant-guerre. Ce bâtiment, posé sur pilotis, accueille environ 400 logements de 23 types différents, desservis à chaque étage par une rue intérieure, ainsi que de […] […] Lire la suite MINARET Écrit par Nikita ELISSÉEFF • 698 mots • 3 médias Dérivé de l'arabe manara , le terme minaret s'appliqua aux tours à feu avant de désigner toutes les tours islamiques et plus particulièrement celles qui, près des mosquées, servent à l'appel à la prière madhana ; au début de l'islam, cet appel se faisait d'une terrasse voisine. Dans chaque région, le type du minaret dérive d'une construction locale à silhouette de tour les tours carrées paléo […] […] Lire la suite PARIS Écrit par Jean-Pierre BABELON, Michel FLEURY, Frédéric GILLI, Daniel NOIN, Jean ROBERT, Simon TEXIER, Jean TULARD • 32 119 mots • 21 médias Dans le chapitre L'âge des tours » […] De leur côté, Édouard Albert et l'ingénieur Jean-Louis Sarf expérimentent une structure légère pour la surélévation de l'hôtel particulier situé 85 bis, rue Jouffroy xvii e , 1955, ancienne propriété de Gustave Eiffel. Ils mettent en application ce système à grande échelle 61 mètres de hauteur avec la tour d'habitation du 33, rue Croulebarbe xiii e , 1960, premier immeuble de grande haute […] […] Lire la suite PEI IEOH MING 1917-2019 Écrit par François CHASLIN • 1 134 mots • 2 médias L'architecte sino-américain Ieoh Ming Pei est né à Canton le 26 avril 1917. Il a passé sa jeunesse à Hong Kong, où son père dirigeait la Banque de Chine, puis à Shanghai, au moment du plein développement économique et commercial de la ville. En 1935, il rejoint le Massachusetts Institute of Technology de Cambridge États-Unis, dont il sort diplômé en architecture en 1940. Retenu par la Seconde Gu […] […] Lire la suite PELLI CESAR 1926-2019 Écrit par Claude MASSU, Universalis • 726 mots Né le 12 octobre 1926 à Tucumán en Argentine, Cesar Pelli, après des études d'architecture dans son pays et aux États-Unis, a commencé sa carrière américaine en 1954 dans l'agence d'Eero Saarinen. Naturalisé américain en 1964, il travaille de 1968 à 1976 à Los Angeles chez Victor Gruen Associates. En 1977, il fonde sa propre agence, Cesar Pelli and Associates. Ses œuvres se caractérisent par les d […] […] Lire la suite PHARES Écrit par Ian C. CLINGAN • 8 917 mots Un phare est une structure qui comporte habituellement une tour, construite à terre ou en mer pour faciliter la navigation maritime côtière en signalant aux marins les écueils, en leur permettant d'établir leur position et en les guidant jusqu'à leur destination. Depuis la mer, un phare peut être identifié par la forme ou la couleur distinctive de sa structure, la couleur ou le caractère de son […] […] Lire la suite PLACE ROUGE Écrit par Pierre KOVALEWSKY • 465 mots • 6 médias Belle Place » en ancien russe, et l'une des plus grandes d'Europe 8 ha, la place Rouge est plus vaste que la place de la Concorde. Depuis le xv e siècle, elle fut le théâtre de tous les événements importants dans la vie du pays . Les décrets et lois étaient proclamés d'une tribune qui se trouvait au milieu de la place, et de grandes cérémonies et processions religieuses s'y déroulaient sous […] […] Lire la suite ROMAN ART Écrit par Marcel DURLIAT • 20 556 mots • 19 médias Dans le chapitre La Bourgogne » […] En Bourgogne, l'évolution de l'architecture romane fut conditionnée par l'apparition du troisième Cluny, à la fin du xi e siècle. L' empire » clunisien est alors au sommet de sa gloire. Il s'étend sur deux mille établissements, desservis par dix mille moines. Dans la seule maison du chef de l'ordre, on ne compte pas moins de trois cents moines. Il fallait donc aux Clunisiens un chœur profond et […] […] Lire la suite ROOT JOHN WELLBORN 1850-1891 Écrit par Universalis • 380 mots Architecte américain, né le 10 janvier 1850 à Lumpkin Georgie, mort le 15 janvier 1891 à Chicago. Envoyé en Angleterre pour être à l'abri des combats de la guerre de Sécession 1861-1865, John Wellborn Root étudie à Oxford pendant un an. Il retourne aux États-Unis en 1866 et obtient un diplôme de génie civil à l'université de New York en 1869. Après deux ans 1871-1873 comme dessinateur en che […] […] Lire la suite ROUMANIE Écrit par Mihai BERZA, Catherine DURANDIN, Alain GUILLERMOU, Gustav INEICHEN, Edith LHOMEL, Philippe LOUBIÈRE, Robert PHILIPPOT, Valentin VIVIER • 35 002 mots • 16 médias Dans le chapitre Les synthèses seconde moitié du XVe s. » […] La création la plus originale de l'art roumain du Moyen Âge est, sans conteste, la synthèse moldave de la fin du xv e siècle dont les éléments continuent à se développer au xvi e siècle. Un ensemble de circonstances favorables, qui ne se retrouve que beaucoup plus tard dans l'histoire agitée des Roumains, a permis ce succès État puissant et disposant d'une production matérielle en pleine ascen […] […] Lire la suite SKIDMORE, OWINGS & MERRILL Écrit par Claude MASSU • 2 142 mots • 1 média Dans le chapitre Les innovations architecturales de l'antenne de Chicago » […] Dans les années 1960, le bureau de Chicago de l'agence acquiert une position dominante, en renouant pour ainsi dire avec la tradition constructive et fonctionnaliste de l'École de Chicago du dernier quart du xix e siècle. Au sein de l'agence, l'architecte Bruce Graham et l'ingénieur Fazlur Khan conçoivent des immeubles spectaculaires qui témoignent d'inventions décisives en matière de str […] […] Lire la suite THAÏLANDE Écrit par Jean BOISSELIER, Achille DAUPHIN-MEUNIER, Christian LECHERVY, Christian TAILLARD, Solange THIERRY, Universalis • 24 737 mots • 17 médias Dans le chapitre L'art d'Ayuthya xive-xviiie s. » […] Illustrant l'orientation politico-religieuse du royaume, l'art tend à rassembler toutes les traditions antérieures témoignant de grandeur passée et celles affirmant la soumission de contrées conquises. L'art d'Ayuthya est, ainsi, beaucoup moins caractérisé par l'originalité créatrice que par sa faculté d'adaptation et une tendance au raffinement intellectuel qui s'affirmera au cours des siècles. P […] […] Lire la suite TOUR EINSTEIN, Potsdam E. Mendelsohn Écrit par Simon TEXIER • 211 mots • 1 média La tour Einstein est l'une des œuvres les plus marquantes de l'architecture expressionniste que l'on pourrait caractériser comme une dramatisation de l'espace et des formes. Elle parachève une série de projets imaginaires dessinés par Erich Mendelsohn 1887-1953 pendant la Première Guerre mondiale, dont plusieurs se référaient à des programmes industriels. Cette construction en briques recouverte […] […] Lire la suite TOURS DE GRANDE HAUTEUR ou GRATTE-CIEL Écrit par Élisabeth PÉLEGRIN-GENEL • 6 156 mots • 1 média Depuis toujours, la construction en hauteur hante les hommes. À preuve les ziggourats, pyramides, cathédrales et autres beffrois qui revètent une dimension symbolique et cherchent à exprimer la puissance politique ou religieuse d'une époque. Si Babel resta inachevée à la suite d'une intervention divine, à en croire le récit de la Genèse, le mythe d'une tour qui monte jusqu'aux cieux et abrite l'h […] […] Lire la suite URBANISME L'urbanisme en France au XXe siècle Écrit par Simon TEXIER • 10 204 mots • 3 médias Dans le chapitre L'ère des rénovations » […] En 1959, est publié le Plan d'urbanisme directeur de Paris, définitivement adopté en 1967, mais appliqué par anticipation dès 1961. Adoptant certains des principes de la Charte d'Athènes publiée en 1943 par Le Corbusier, le autorise la construction d'immeubles de grande hauteur moyennant leur retrait par rapport à la rue. Plusieurs dizaines de tours émergeront du sol […] […] Lire la suite
Aprèsune remise aux enchères et une mise en indivision, l'église est donnée en 1806 à la Commune qui la réaffecte aussitôt au culte. En 1834, une chapelle dite des Filles de Marie est construite le long du mur sud de l'église sur l'emplacement de l'ancien cimetière des observantins. Il s'agit aujourd'hui de la Chapelle Saint-Jérôme de l'Observance où se déroule toujours le culte.
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  • clocher d église sur une tour isolé