Jen'ai pas eu la mĂȘme rĂ©vĂ©lation pour les Ă©tudes marketing que pour le Tariquet PremiĂšres Grives. J'en suis sĂ»re maintenant, les statistiques, c'est pas pour moi. DĂ©jĂ  en Ă©cole, il

Chaque mercredi, on parle philo dans SMART JOB. Parce que la philosophie a aussi sa place en entreprise ! Culture du feed back, prise de dĂ©cision, politique de transparence prenez le temps de la rĂ©flexion et de l’analyse dans SMART PHILO.

VidĂ©oTikTok de Laurie lauv (@lauv_tiktok) : « Je vous prĂ©sente mes recettes #vĂ©gĂ©taliennes !! J’aime trop cuisiner, vive la nourriture, vive le partage et vive nous 😍 Avant je mangeais de la viande et ça fait maintenant plus de 3 ans que j’ai arrĂȘtĂ© ! Comme quoi, tout est possible dans la vie 😜Qui est vĂ©gane ici ? Qui souhaite l’ĂȘtre ?

Ne pas faire l'amour pendant un certain temps peut ĂȘtre salutaire pour certains. Getty Images "J'ai connu une premiĂšre histoire d'amour assez longue, du lycĂ©e jusqu'Ă  la fin de mes Ă©tudes supĂ©rieures, raconte CĂ©line, 34 ans. Mais finalement, nous nous sommes sĂ©parĂ©s. J'avais alors 23 ans. Et pendant presque quatre ans, il n'y a eu personne. Je ne saurais pas trop expliquer pourquoi. Est-ce que j'avais besoin de faire mon deuil de celui dont je pensais qu'il serait le pĂšre de mes enfants ? Est-ce que j'Ă©tais accaparĂ©e par le dĂ©but de ma vie professionnelle ? Difficile Ă  dire, mais le fait est que pendant quatre ans, rien." Un no man's land sexuel que la jeune femme n'a pas vraiment mal vĂ©cu. "Je me sentais bien sĂ»r un peu seule parfois, mais je ne peux pas dire que j'ai Ă©prouvĂ© un manque physique. D'abord, j'ai toujours Ă©tĂ© assez dĂ©complexĂ©e au sujet de la masturbation, donc le plaisir, je savais comment le trouver. Ensuite, ces trois annĂ©es ont Ă©tĂ© riches de rencontres amicales et d'expĂ©riences professionnelles." LIRE AUSSI >> Asexuel peut-on s'aimer sans jamais faire l'amour? "Une vĂ©ritable pression sociale""Et puis je m'occupais de moi, je n'oubliais pas pour autant que j'avais un corps, reprend CĂ©line. Mon entourage s'inquiĂ©tait plus que moi Ă  vrai dire. Il y a une vĂ©ritable pression sociale sur le sujet." Cette pĂ©riode d'abstinence prend fin un beau jour de dĂ©cembre. "Une soirĂ©e chez des amis, 'il' Ă©tait lĂ , j'Ă©tais sans doute prĂȘte et je me suis rĂ©veillĂ©e chez lui. Ça n'a pas durĂ©, mais quelques mois aprĂšs, j'ai rencontrĂ© mon mari. Et sexuellement, ça se passe trĂšs bien", souligne la jeune femme. CĂ©line ne regrette pas ces annĂ©es sans sexe. Avec le recul, elle confie avoir appris Ă  se suffire Ă  elle-mĂȘme, Ă  ne pas compter sur un autre pour se sentir "entiĂšre". "Surtout, je ne me serais pas respectĂ©e de faire l'amour sans en avoir envie. Qu'il n'y ait pas de sentiments, ce n'est pas un problĂšme. J'ai connu de trĂšs belles rencontres d'un soir. Mais il faut du dĂ©sir. Et Ă  ce moment-lĂ , je n'en avais pas. Il Ă©tait peut-ĂȘtre ailleurs, sur le plan professionnel ou amical. Quand il est revenu, c'Ă©tait encore plus fort qu'avant, je me suis dĂ©couvert une sensualitĂ© que je ne me connaissais pas. Peut-ĂȘtre avais-je besoin de me prouver certaines choses, de ne plus faire l'amour pour comprendre Ă  quel point j'aimais ça." "Oui, les mains d'un homme sur mon corps me manquent"Autre histoire, autre ressenti, celui d'Armelle, 42 ans. Cela fait deux ans qu'elle n'a pas eu de rapports sexuels. "J'ai divorcĂ© de mon mari, qui est parti pour une autre. Je commence tout juste Ă  remonter la pente. Mes amies me disent de m'inscrire sur Tinder, mais je n'en ai pas la force. J'ai trop peur de ne pas trouver un seul homme qui s'intĂ©resse Ă  moi. Et puis l'idĂ©e de me mettre Ă  nu devant un inconnu, Ă  un Ăąge oĂč le corps n'est plus aussi tonique, avec les stigmates de mes grossesses, cela me terrifie." "Avec mon mari, je n'y faisais pas attention, il connaissait mon corps, mes vergetures, ma cellulite, il les aimait mĂȘme. Enfin, je pensais qu'il les aimait. Mais lĂ , honnĂȘtement, j'aurais du mal." Armelle souffre de cette "mise en sommeil". "La solitude, je m'y fais, d'autant que j'ai mes enfants une semaine sur deux et pas mal d'amis. Mais j'ai toujours aimĂ© faire l'amour et oui, ça me manque. Les mains d'un homme sur moi, le dĂ©sir qui monte, l'orgasme. La seule chose de positive, c'est de ne plus avoir Ă  penser Ă  une contraception. Mais pour le reste, je ne vois pas. J'espĂšre vaincre mes angoisses et avoir le courage de me lancer de nouveau bientĂŽt." LIRE AUSSI >> Appli de rencontre laquelle choisir pour trouver l'amour? L'impression de ne plus ĂȘtre dĂ©sirableCe manque, Claire, 45 ans, le ressent aussi, alors mĂȘme qu'elle est en couple. "Je n'aurais jamais pensĂ© faire partie de ces gens mariĂ©s qui petit Ă  petit ne font plus l'amour. Mais la vĂ©ritĂ©, c'est qu'on n'a rien fait depuis un an. Certes, ce n'est pas si long Ă  l'Ă©chelle d'une vie, mais quand on se couche tous les soirs avec la mĂȘme personne et que plus rien ne se passe, c'est une Ă©ternitĂ©." "Mon mari a Ă©tĂ© infidĂšle. Je l'ai dĂ©couvert, on a eu une grosse crise, et finalement, on a dĂ©cidĂ© de rester ensemble. Mais quelque chose a Ă©tĂ© cassĂ©, on n'y arrive plus. Le pire, c'est qu'on n'en parle mĂȘme pas. C'est l'Ă©lĂ©phant dans la piĂšce." Au-delĂ  de ce que cette abstinence dit de son couple, Claire supporte de moins en moins cette impression de ne plus ĂȘtre dĂ©sirable "Je n'ai que 45 ans. Je ne me vois pas me priver de rapports charnels pour toujours. D'autant que je vois bien que je compense en mangeant compulsivement. C'est comme si mon corps Ă©tait dĂ©clarĂ© inapte, comme s'il ne pouvait plus servir." LIRE AUSSI >> "Faisons-nous l'amour assez souvent?" "Cette parenthĂšse sexuelle nous a sans doute sauvĂ©s"Des problĂšmes de dĂ©sir, il y en a eu aussi pour Marie et CĂ©dric, mariĂ©s depuis quinze ans. "On a eu une longue traversĂ©e du dĂ©sert. Je travaillais beaucoup, lui aussi, on a finit par 'oublier' de se toucher. Mais au bout de longs mois Ă  ne plus faire l'amour, on a rĂ©ussi Ă  en parler et je suis allĂ©e voir un sexologue", raconte Marie. "HonnĂȘtement, cela venait tout de mĂȘme surtout de moi. Mon thĂ©rapeute m'a appris Ă  'dĂ©focaliser', Ă  ne pas faire du sexe une obsession. Petit Ă  petit, on a appris Ă  se redĂ©couvrir avec CĂ©dric. On a essayĂ© des choses qu'on ne faisait pas avant, une nuit Ă  l'hĂŽtel en pleine semaine, on s'est envoyĂ© des sextos. J'ai fait du sport, des massages", Ă©numĂšre Marie. "Cela semble peut-ĂȘtre idiot mais j'en avais besoin. Et c'est revenu. Mieux qu'avant. Beaucoup mieux, en vĂ©ritĂ©. Je n'y croyais pas, mais on a en quelque sorte rattrapĂ© le temps perdu. Et aujourd'hui, je me dis que cette parenthĂšse dans notre vie de couple nous a sans doute sauvĂ©s. Elle nous a poussĂ©s Ă  nous retrouver, paradoxalement." Comme quoi, l'abstinence peut parfois ĂȘtre la promesse d'une sexualitĂ© Ă  venir plus Ă©panouie. Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine BuĂ©no*ChroniqueJean-Laurent Cassely

3mn de lecture. RĂ©cemment, ma femme souhaite revoir la dĂ©coration de la maison, on fait donc le tour des magasins de mobiliers en quĂȘte d’un nouveau canapĂ©, d’une table basse et d’élĂ©ments de dĂ©coration. On trouve notre bonheur mais la peinture au mur ne lui plait PrĂ©cĂ©dente. 1 2 Suivante. J'ai pas de chance ! Pour devenir riche, travailler comme consultant est un bon moyen mais avant de se lancer voici les 15 dĂ©faut de cette profession. Le mot “consultant” est un peu devenu commun et utilisĂ© Ă  tout bout de champ. Mais la dĂ©finition de base reste quelqu’un d’extĂ©rieur payĂ© pour donner des conseils ». Le consultant se prĂ©sente sous diffĂ©rentes formes. Il y a les consultants salariĂ©s, ceux qui sont indĂ©pendant et il y a ceux payĂ©s Ă  la tĂąche heure ou projet. J’ai Ă©tĂ© consultant dans chacune de ces catĂ©gories. J’ai travaillĂ© en tant que consultant salariĂ© et j’ai eu un peu de mal avec la politique de mon entreprise. Je suis plus Ă  l’aise en tant qu’indĂ©pendant; j’ai un client Ă  la fois pour une pĂ©riode maximum d’un an; je n’ai pas plusieurs clients en mĂȘme temps et je n’ai pas de supĂ©rieur, juste des clients. Avec l’expĂ©rience j’ai appris que le rĂȘve de beaucoup de salariĂ©s Ă©tait de devenir consultant. Être prĂȘt au niveau mental est primordial. J’ai vu beaucoup d’idĂ©es prĂ©conçues sur ce qu’est le mĂ©tier de consultant ou comment doivent ĂȘtre traitĂ©s les consultants. VoilĂ  quelques points que j’ai appris Le marchĂ© du consulting a beaucoup Ă©voluĂ©, c’est la raison pour laquelle il est nĂ©cessaire de mettre en place une nouvelle chaĂźne de valeur. Source Sommaire1 1 – Plus que tout, soyez prĂȘt Ă  ĂȘtre mal 2 – Mais soyez Ă©galement prĂȘt Ă  ĂȘtre traitĂ© 3 – PrĂ©parez vous Ă  avoir le pire bureau, le pire ordinateur et les pires 4 – Ne croyez jamais, mĂȘme si ça fait longtemps, que vos collĂšgues vous voient comme un 5 – Soyez prĂȘt Ă  travailler sans personne pour vous aider. 6 6 – N’importe quelle personne forcĂ©e Ă  travailler avec vous se comportera comme si vous travaillez pour 7 – N’importe quelle personne forcĂ©e Ă  travailler pour vous, vous en 8 – Tout le monde partira du principe que vous gagnez plus d’argent qu’eux pour le mĂȘme 9 – Vous entendrez plusieurs fois par semaine des gens vous dire que vous avez besoin d’un emploi stable et un bon CE ».10 10 – Vous ferez des photocopies11 11 – Si vous partez tard, on vous accusera d’essayer de sur-facturer12 12 – Si vous partez tĂŽt, on vous reprochera de vous la couler douce13 13 – La plupart de vos clients seront 14 – PrĂ©voyez du temps pour trouver vos 15 – On vous fera des reproches 1 – Plus que tout, soyez prĂȘt Ă  ĂȘtre mal traitĂ©. 2 – Mais soyez Ă©galement prĂȘt Ă  ĂȘtre traitĂ© royalement. La plupart des clients ont une relation mĂȘlant haine et amour avec leurs consultants. Une semaine, vous ĂȘtes l’homme de la situation. Une autre, quelqu’un se fait mettre la pression par son supĂ©rieur ou entend des rumeurs vous signalant trop Ă  l’aise » et vous serez traitĂ© comme un moins que rien. Vous ĂȘtes le dernier maillon de la chaĂźne alimentaire. MĂȘme lorsque je travaillais depuis longtemps pour un client dans une relation de confiance et que celui-ci me recommandait Ă  qui voulait l’écouter, je n’ai jamais oubliĂ© qu’en fonction du sens du vent je pouvais ĂȘtre encensĂ© ou exĂ©crĂ©. 3 – PrĂ©parez vous Ă  avoir le pire bureau, le pire ordinateur et les pires fournitures. J’ai travaillĂ© dans des placards, des salles de rĂ©unions vides. J’ai aussi Ă©tĂ© forcĂ© Ă  travailler sans ordinateur pendant des semaines et pour toute une sĂ©rie de raisons je n’ai pas proposĂ© d’utiliser mon ordinateur personnel. Les internes salariĂ©s de l’entreprise ont un plus beau bureau. Votre client, chez qui vous travaillez depuis un an, peut-mĂȘme oublier de vous donner un tĂ©lĂ©phone ou une boite vocale
 4 – Ne croyez jamais, mĂȘme si ça fait longtemps, que vos collĂšgues vous voient comme un employĂ©. Vous ĂȘtes toujours un externe. MalgrĂ© le fait que vous travaillez pour le mĂȘme employeur, mais ĂȘtes juste payĂ© diffĂ©remment, vous serez toujours Ă©tiquetĂ© comme Externe. 5 – Soyez prĂȘt Ă  travailler sans personne pour vous aider. Lorsque j’étais salariĂ©, j’avais une vĂ©ritable armĂ©e de personnes travaillant pour moi. A un moment donnĂ©, j’avais une assistante administrative et une secrĂ©taire. En quoi consiste le boulot d’une secrĂ©taire ? S’occuper de porter vos vĂȘtements au pressing. J’avais une Ă©quipe de 25 personnes. Lorsque vous avez autant de personnes sous vos ordres, vous n’avez plus Ă  prendre votre stylo pour Ă©crire ou Ă  taper un email – en gros vous passez le plus clair de votre temps en rĂ©union Ă  donner des ordres. En tant que consultant, tout ça est fini. DĂ©sormais je dois ramper pour obtenir de l’assistante de mon client qu’elle planifie une rĂ©union; j’ai la prioritĂ© 836. Le consultant propose au client de diviser la mission en plusieurs Ă©tapes Source 6 – N’importe quelle personne forcĂ©e Ă  travailler avec vous se comportera comme si vous travaillez pour elle. Les internes pensent qu’ils sont en charge de donner des ordres Ă  un consultant simplement parce qu’ils ont un salaire fixe au lieu d’ĂȘtre payĂ© Ă  l’heure. Ils veulent aussi s’assurer que personne ne se rendent compte que vous faites un meilleur boulot qu’eux. Si une personne est mon Ă©quivalent hiĂ©rarchique, il n’est pas concevable que j’aille en rĂ©union Ă  sa place ! 7 – N’importe quelle personne forcĂ©e Ă  travailler pour vous, vous en voudra. Je n’ai jamais rencontrĂ© un interne pensant qu’il devait travailler pour’ un consultant. Chez mon prĂ©cĂ©dent client, j’avais 5 personnes travaillant pour moi et ça m’a pris longtemps pour arriver Ă  faire passer leurs rĂ©ticences. 8 – Tout le monde partira du principe que vous gagnez plus d’argent qu’eux pour le mĂȘme boulot. C’est vrai parce que si vous gagnez 5 000 € par mois pour 80 heures par semaines vous gagnez plus que celui qui gagne 30 € par heure et travaille juste 40 heures par semaines; s’il travaillait 80 heures il gagnerait 12 000 € par mois. 9 – Vous entendrez plusieurs fois par semaine des gens vous dire que vous avez besoin d’un emploi stable et un bon CE ». Ce seront les premiĂšres personnes Ă  partir en cas de restructuration, fusion ou dĂ©localisation. 10 – Vous ferez des photocopies MalgrĂ© le fait que votre taux horaire soit astronomique en comparaison avec les internes bossant 80 heures par semaine, vous serez toujours le premier Ă  qui on demande d’aller faire les photocopies. Je ne m’en plains jamais mais cela me surprends toujours de penser que l’entreprise souhaite dĂ©penser mon temps et leur argent de cette maniĂšre. 11 – Si vous partez tard, on vous accusera d’essayer de sur-facturer mais
 12 – Si vous partez tĂŽt, on vous reprochera de vous la couler douce mĂȘme si en Ă©tant facturĂ© Ă  l’heure, vous ne coĂ»tez pas plus cher Ă  l’entreprise. 13 – La plupart de vos clients seront bordĂ©liques. Pour ce que j’en ai vu, si une entreprise fonctionne bien et que ses salariĂ©s sont heureux, elle n’a pas besoin de consultants sauf pour de l’expertise. 14 – PrĂ©voyez du temps pour trouver vos clients. Beaucoup de gens pensent pouvoir le faire mais dĂšs qu’ils commencent, ils dĂ©testent ça. 15 – On vous fera des reproches A moins de travailler sur un projet particulier complĂštement terminĂ© le jour de votre dĂ©part, il y aura toujours des gens pour reprocher aux consultants les problĂšmes qui arriveront mĂȘme 6 mois aprĂšs votre dĂ©part. Maintenant que les points nĂ©gatifs sont traitĂ©s, j’aborderai les 15 points positifs sur le fait d’ĂȘtre consultant ! Note cet article est Ă  la base un article traduit que j’ai adaptĂ© 🙂 Rejoignez-moi sur TĂ©lĂ©gram Retrouvez mes formations ici AbientĂŽt dans notre institut CELIBEL. Footer. Nos coordonnĂ©es. Celibel 13 rue de la paix 44390 Nort sur Erdre 02 40 72 23 51. Institut de beautĂ© Ă  Nort-sur-Erdre. Virginie, Marie et
Vous ĂȘtes-vous dĂ©jĂ  demandĂ© si vous Ă©tiez vraiment fait pour ĂȘtre en couple ? Si vous aviez des prĂ©dispositions qui guidaient votre vie amoureuse ? Nous vous expliquons tout !5 MAI 2017 Lecture min. Nous avons tous autour de nous des personnes qui sont toujours en couple, d'autres qui s’envolent de relation en relation, ou d'autres encore qui sont cĂ©libataires endurcis . On peut dĂšs lors se poser la question avons-nous des prĂ©dispositions Ă  ĂȘtre plutĂŽt cĂ©libataire ou en couple ? Et d'oĂč cela nous vient-il ? Le cĂ©libat est quelque chose qui, encore aujourd'hui, peut ĂȘtre vu comme une tare, les personnes cĂ©libataires se faisant rapidement juger ou moquer, Ă  coup de "alors, quand est-ce que tu nous prĂ©sentes quelqu'un?". Pourtant, on peut dire qu'il existe deux types de cĂ©libataires celles qui vivent le cĂ©libat comme un poids, dĂ©sespĂ©rant de ne pouvoir trouver quelqu'un, et celles pour qui le cĂ©libat est une libertĂ© totale, qui ont de multiples conquĂȘtes et ne souhaitent pas forcĂ©ment se poser. On peut donc rapidement en arriver Ă  se poser la question y a-t-il des personnes qui sont faites pour ĂȘtre cĂ©libataires et d'autres faites pour ĂȘtre en couple ? Comment savoir dans quelle catĂ©gorie on se situe ? Les prĂ©dispositions n'existent pas En rĂ©alitĂ©, nous n'avons pas de prĂ©disposition Ă  ĂȘtre plutĂŽt en couple ou plutĂŽt cĂ©libataire. En revanche, notre histoire personnelle joue un certain rĂŽle dans notre vie amoureuse et, selon les psychologues et psychanalystes, nous passons de toutes façons tous par des pĂ©riodes de cĂ©libat et de couple. Cependant, nous vivons dans une sociĂ©tĂ© en contradiction avec elle-mĂȘme et qui pĂšse beaucoup sur nous. D'un cĂŽtĂ©, le fait d'ĂȘtre en couple est toujours encensĂ©, le couple est vu comme une fin en soi pour beaucoup de personnes, vivre une relation de couple est primordial pour une vie Ă©panouie. Pourtant, le nombre de divorces explose, et de plus en plus, depuis la rĂ©volution sexuelle. Le cĂ©libat est prĂ©sentĂ© comme la libertĂ© de choisir et de voler sans se poser. Évidemment, personne n'a tort ou raison dans ce contexte l'important est d'ĂȘtre le plus heureux possible dans sa situation, de se sentir suffisamment en sĂ©curitĂ© pour pouvoir faire des projets qui leur plaisent, pour voyager, voir des amis, s'investir dans des choses qui leur tiennent Ă  coeur. Le marchĂ© du cĂ©libat Ce choix est renforcĂ© par l'offre incroyable Ă  la disposition des personnes cĂ©libataires. Les sites et applications de rencontre sont lĂ©gions , chez les jeunes comme les moins jeunes. MĂȘme si moins de 10% des couples se sont connus via un site ou une application de rencontre, il n'empĂȘche que cela peut donner l'image d'un marchĂ© immense. Pourtant, ces sites et applications sont aussi l'occasion de rencontrer des personnes que l'on n'aurait jamais rencontrĂ©es dans la vraie vie, mĂȘme si cela ne conduit pas Ă  une relation de couple durable. Qu'est-ce qui fait que l'on est cĂ©libataire ? Nous l'avons Ă©voquĂ©, il n'y a pas de prĂ©disposition Ă  ĂȘtre plutĂŽt en couple ou cĂ©libataire. Les raisons sont Ă  chercher au coeur de nos histoires personnelles. Ainsi, beaucoup de personnes ayant profondĂ©ment souffert dans une ancienne relation n'osent plus se lancer de peur de souffrir Ă  nouveau, d'autres qui ont Ă©tĂ© blessĂ©es ou trahies ne veulent pas accorder leur confiance de peur d'ĂȘtre trahies Ă  nouveau. Enfin, certaines personnes ne sont tout simplement pas intĂ©ressĂ©es par une vie de couple, car elles se sentent bien seules et n'ont pas le besoin de vivre Ă  deux. Le poids des histoires familiales dans la vie de couple On ne s'en rend pas forcĂ©ment compte, mais le poids de la famille joue beaucoup dans notre histoire et dans notre propension Ă  rechercher une partenaire. Ainsi, chez les personnes dont les parents ont souffert, il est courant de voir des tentatives inconscientes d'auto-sabotage parce que l'on ne s'autorise pas Ă  ĂȘtre heureux. Si l'on ne sent pas complĂštement Ă©panoui dans une relation ou que l'on a du mal Ă  trouver l'amour, il peut ĂȘtre bon d'en parler avec un professionnel pour de dĂ©couvrir ce qui nous empĂȘche d'ĂȘtre heureux et de guĂ©rir de nos blessures, afin de ne pas nous mettre en couple avec des personnes qui appuieraient» sur nos failles. Ne pas s'enfermer dans une relation de souffrance Peut-ĂȘtre l'avez-vous dĂ©jĂ  vĂ©cu, oĂč des personnes autour de vous sont parfois en position de sacrifice constant. Faire des compromis, c'est normal, mais il n'est pas normal que ce soit toujours la mĂȘme personne qui se sacrifie, allant jusqu'Ă  se mettre en danger au niveau personnel, professionnel ou financier, par exemple. On peut d'ailleurs rapprocher cela du syndrome de l'infirmiĂšre. Courant chez les femmes, mais existant aussi chez les hommes, le syndrome de l'infirmiĂšre fait que l'on pense que l'on pourra guĂ©rir une personne de ses faiblesses. C'est souvent Ă  cause de ce syndrome que de nombreux individus s'enferment dans des relations toxiques, car ils pensent pouvoir faire changer l'autre pour le meilleur. Il n'est jamais recommandĂ© de consacrer tout son temps et toute son Ă©nergie Ă  son couple au contraire, il est bien normal de prendre du temps pour soi ! D'ailleurs, c'est pendant ces temps pour vous que vous pourrez penser tranquillement Ă  votre couple et rĂ©flĂ©chir Ă  vos envies, Ă  vos besoins. Bref, les moments seuls sont idĂ©aux parfois, mĂȘme si c’est pour faire le point. Photos Shutterstock Les informations publiĂ©es sur ne se substituent en aucun cas Ă  la relation entre le patient et son psychologue. ne fait l'apologie d'aucun traitement spĂ©cifique, produit commercial ou service.
Ilsl'ont vaincu à cause du sang de l'agneau et à cause de la parole de leur témoignage, et ils n'ont pas aimé leur vie jusqu'à craindre la mort. I might. Jean 17:4 Je t'ai glorifié sur la terre, j'ai achevé l'oeuvre que tu m'as donnée à faire. 1 Corinthiens 9:24-27
Ă  propos de la perte, de la mort et de l’irrĂ©mĂ©diable Le jour de l’enterrement de sa mĂšre, C. a Ă©tĂ© piquĂ©e par une abeille. Il y avait beaucoup de monde dans la cour de la maison familiale. J’ai vu C. dans l’infini de ses quatre ans, ĂȘtre d’abord surprise par la douleur de la piqĂ»re puis, juste avant de pleurer, chercher avidement des yeux, parmi tous ceux qui Ă©taient lĂ , celle qui la consolait depuis toujours, et arrĂȘter brutalement cette recherche, ayant soudain tout compris de l’absence et de la mort. Cette scĂšne, qui n’a durĂ© que quelques secondes, est la plus poignante que j’aie jamais vue. Il y a une heure oĂč, pour chacun de nous, la connaissance inconsolable entre dans notre Ăąme et la dĂ©chire. C’est dans la lumiĂšre de cette heure-lĂ , qu’elle soit dĂ©jĂ  venue ou non, que nous devrions tous nous parler, nous aimer et mĂȘme le plus possible rire ensemble. » Christian Bobin, Ressusciter », Éditions Gallimard. La vie est injuste Comment la nature peut-elle ĂȘtre aussi injuste ? J’avais pourtant mis toutes les chances de mon cotĂ© pour avoir un bĂ©bĂ© en bonne santĂ©, alors que certaines personnes n’en font mĂȘme pas la moitiĂ© et ont de beaux bĂ©bĂ©s. Et le mien
 Je n’ose mĂȘme pas dire ce qu’il a. Je ne comprends pas. J’ai fait tout ce que le mĂ©decin m’a dit, Ă  la lettre. La vie est trop injuste ! Mon fils a eu un terrible accident avec sa moto samedi en fin de matinĂ©e
 il est mort sur le coup
 j’ai beaucoup de mal Ă  Ă©crire ça car je n’arrive pas Ă  y croire. Il venait d’avoir 20 ans. Il Ă©tait tellement heureux de se payer sa premiĂšre moto. Quand je pense Ă  toutes les choses qu’il ne connaĂźtra pas, il laisse un vide terrible
 Je me demande pourquoi lui ? Pourquoi nous ? C’était un gentil garçon, discret, respectueux et apprĂ©ciĂ© de tous. Pourquoi une telle injustice ? Mon pĂšre a travaillĂ© dur pendant toute sa vie, et quelques jours avant sa retraite, il nous a dit, Ă  mes frĂšres et moi Ah, je vais enfin pouvoir me reposer et passer du temps au jardin ». Mais six mois aprĂšs, il Ă©tait mort. C’est vraiment pas juste ! Quand l’ĂȘtre humain se retrouve aux prises avec une douleur insurmontable, une douleur qui l’étrangle presque, il se dĂ©bat, refuse la rĂ©alitĂ© et croit n’avoir pas d’autres ressources que de crier Ă  l’injustice. Pourquoi moi ? » La douleur insurmontable nous rend totalement Ă©gocentriques nous aurions prĂ©fĂ©rĂ© que quelqu’un d’autre la subisse. Un certain contexte judĂ©o chrĂ©tien du dieu vengeur nous inciterait mĂȘme Ă  penser que certains mĂ©riteraient la punition divine – parce qu’ils se sont mal comportĂ©s – mais moi qui n’ai rien fait, moi qui suis innocent, pourquoi devrais-je souffrir ? N’est-ce pas nĂ©cessairement injuste ? » La souffrance serait-elle fondamentalement injuste ? Qu’est-ce que l’injustice ? La notion d’injustice peut ĂȘtre apprĂ©hendĂ©e de deux maniĂšres bien diffĂ©rentes. Par dĂ©finition, la justice juge toujours par rapport Ă  quelque chose, que ce soit la loi ou la conception que chacun a du Bien. Dans la mesure oĂč il y a un contrat Ă©tabli entre l’homme et la sociĂ©tĂ© et que ce contrat – aussi appelĂ© la loi » – dit qu’il ne faut pas voler, on trouvera par exemple juste qu’un homme qui n’a pas respectĂ© ce contrat soit condamnĂ© pour vol. A contrario que ce voleur ne soit pas condamnĂ© nous paraĂźtra, Ă  juste ! titre, injuste. Par une dĂ©rive insidieuse, nous en arrivons Ă  trouver juste d’ĂȘtre en bonne santĂ©, de correctement gagner sa vie, d’avoir de beaux enfants
 et tout ce qui viendra casser ce bel Ă©quilibre rĂȘvĂ© ou inventĂ© par notre idĂ©al sera considĂ©rĂ© comme injuste. Or oĂč est la loi non Ă©crite le contrat entre la vie et nous qui stipule qu’une future mĂšre donnera toujours naissance Ă  un bĂ©bĂ© en bonne santĂ©, que ceux qui ont travaillĂ© pendant plus de quarante ans vivront au moins vingt ans Ă  la retraite pour en profiter, que les cyclones, tremblements de terre, tsunamis ne peuvent pas se produire, que les jeunes Ă  moto n’auront jamais d’accidents, etc. ? Qui parmi nous a signĂ© un contrat avec dieu, la vie, le destin, son pĂšre ou sa mĂšre pour ĂȘtre assurĂ© de ne pas souffrir ? Auquel cas il y aurait rupture du contrat
 et injustice ! Alors pourquoi crions-nous Ă  l’injustice ? Nous nous disons sans doute inconsciemment que si nous acceptons ce qui nous paraĂźt atroce, cela va lui donner plus de rĂ©alitĂ©. Et que si nous refusons que ce qui est soit autre nom du dĂ©ni nous allons moins souffrir. Or nous allons voir que ce n’est pas le cas, bien au contraire ! Petite ou grande souffrance, il n’y a aucune injustice Ă  souffrir. Il n’y a aucune injustice Ă  ce que mon enfant soit handicapĂ©. Il n’y a aucune injustice Ă  ce que mon pĂšre meure quelques jours aprĂšs son dĂ©part en retraite. Il n’y a aucune injustice Ă  ce que mon fils de vingt ans se tue dans un accident de moto. Pourquoi ? Simplement parce qu’il n’y a pas eu de contrat, parce que personne n’a jamais eu le pouvoir de l’interdire. Ce qui n’empĂȘche Ă©videmment pas de souffrir. Mais le fait de ne pas se rĂ©volter contre les faits change complĂštement notre relation Ă  la souffrance, c’est ce que nous verrons par la suite. La vie est cruelle Comment pouvons-nous nommer le fait que les desseins de la vie ne correspondent pas toujours Ă  ce que nous aurions souhaitĂ© ? Tout juste pouvons-nous dire que c’est pas de chance », en comparaison avec ce que nous aurions espĂ©rĂ© ou voulu. Nous sommes tous contraints Ă  vivre dans un monde dans lequel nous sommes impuissants Ă  faire en sorte que les Ă©vĂ©nements arrivent comme nous le voulons. Nous pouvons lĂ©gitimement nous employer Ă  tout faire pour mettre les chances de notre cĂŽtĂ©, mais ils continueront d’arriver
 comme ils arrivent. Par exemple, nous avons organisĂ© le mariage de notre fille unique un 1er aoĂ»t en Provence, persuadĂ©s que l’époque et le lieu choisis par nous nous assureront le beau temps. Et ce jour-lĂ , pour la premiĂšre fois depuis des annĂ©es Ă  cette date-lĂ , il pleut des cordes. Il va bien falloir un jour que nous comprenions que ce n’est pas nous qui dĂ©cidons, alors mĂȘme que nous avons la fausse impression de tout avoir contrĂŽlĂ©. MĂȘme quand la vie nous impose des Ă©vĂ©nements qui ne coĂŻncident pas avec ce qui nous convient, nous savons maintenant qu’elle n’est pas injuste il n’y a pas eu de contrat, alors nous disons qu’elle est cruelle ». Car nous souffrons. La premiĂšre des Quatre Nobles VĂ©ritĂ©s Ă©noncĂ©es par le Bouddha aprĂšs son illumination s’énonce ainsi Tout est souffrance. Etre uni Ă  ce que l’on n’aime pas est souffrance, ĂȘtre sĂ©parĂ© de ce que l’on aime est souffrance. » Comment s’en sortir ? A une mĂšre tordue de douleur qui n’acceptait pas la mort de son enfant et qui le suppliait de le faire revivre, le Bouddha aurait rĂ©pondu Je t’exaucerai si tu trouves une seule maison qui n’a pas connu la mort. » On dit qu’aprĂšs plusieurs annĂ©es de souffrance et d’errance, la femme est revenue en paix, se prosterner aux pieds du Bouddha. Qu’avait-elle compris ? Elle avait vĂ©rifiĂ© par elle-mĂȘme que toutes les maisons des hommes avaient connu la mort. Elle avait donc compris que la souffrance fait partie intrinsĂšque de la vie et que comme avec tout ce qui est », chacun est obligĂ© de faire avec. » Ordinairement, nous nions la rĂ©alitĂ© de ce qui ne nous convient pas. C’est ainsi que par notre rĂ©sistance, nous nions une partie de notre expĂ©rience et c’est cela qui nous condamne Ă  souffrir davantage. A chaque fois que nous refusons de souffrir au moment oĂč nous souffrons, nous nous blindons, et nous renforçons l’intensitĂ© de la souffrance en nous. Nous souffrons davantage encore en ajoutant la souffrance de notre refus c’est injuste, Ă  notre souffrance premiĂšre par exemple, mon cƓur est transpercĂ© par la mort de ma mĂšre. Oui, la vie est cruelle, c’est ainsi, et nous aurions avantage Ă  apprendre Ă  nous laisser transpercer le cƓur plutĂŽt qu’à vouloir le blinder. Et si c’était au moment oĂč la nuit est la plus noire que nous Ă©tions au plus prĂšs du point de l’aurore ? C’est en intĂ©grant la souffrance qui est la nĂŽtre et non en la rejetant que nous avancerons sur le chemin de la paix. Pour illustrer Voici quelques jours, je recevais ce message d’une mĂšre musulmane Mon fils, hier soir, a oubliĂ© de fermer une des portes des trois poulaillers. Ce matin je me suis aperçu qu’il manquait sa poule qu’il a depuis qu’elle est petite ainsi que ses poussins. Il ne reste qu’un poussin sur les sept. Un prĂ©dateur a dĂ» les prendre. Mon fils Ă©tait trĂšs attachĂ© a cette poule. Il l’avait apprivoisĂ©e et j’angoisse de lui annoncer. Il a dix ans. » La situation n’est-elle pas infiniment cruelle ? Le cƓur d’une mĂšre est transpercĂ© par la douleur parce que son enfant va se confronter violemment Ă  l’inĂ©luctable et Ă  la mort. Non, l’arrivĂ©e de ce prĂ©dateur n’est pas injuste pas de contrat entre le prĂ©dateur et les gens qui Ă©lĂšvent les poules. Non, la mort de la poule de cet enfant n’est pas injuste pas de contrat entre le dĂ©sir de cet enfant pour sa poule et la vie de la poule. Non, la souffrance de cet enfant n’est pas injuste pas de contrat entre le dĂ©sir de la mĂšre que son enfant ne souffre pas et la vie. C’est l’amour de cette mĂšre pour son enfant qui lui donnera la force de traverser sa propre souffrance et de s’ouvrir pleinement Ă  la vie telle qu’elle est, accompagnant par lĂ -mĂȘme son enfant Ă  s’ouvrir Ă  son tour Ă  la vie telle qu’elle est. La colĂšre*, Ă©motion liĂ©e Ă  l’injustice, trouve son sens quand elle est lĂ©gitime, c’est-Ă -dire quand il y a eu transgression d’un contrat, elle peut servir alors Ă  nous donner l’énergie de nous confronter Ă  celui qui a rompu le contrat ; mais quand elle est illĂ©gitime, c’est-Ă -dire quand elle s’exprime indĂ»ment, elle ne fait que masquer la tristesse, elle devient un piĂšge qui nous empĂȘche de devenir vulnĂ©rable Ă  la vie – mĂȘme quand elle est cruelle avec nous – qui nous empĂȘche de pleurer tout notre saoul, par exemple. Nous avons tous besoin de devenir vulnĂ©rables car c’est la vulnĂ©rabilitĂ© Ă  la souffrance qui attendrira notre cƓur. En fait il n’y a que l’amour qui peut nous donner la force de transcender la souffrance en nous permettant d’aller au-delĂ , or l’amour ne peut se dĂ©ployer que dans la vulnĂ©rabilitĂ©. C’est ce que vit cette mĂšre qui angoisse d’annoncer Ă  son enfant la cruautĂ© de la vie mais qui ne recule pas et assume son rĂŽle par amour. En guise de conclusion Dans une sociĂ©tĂ© qui veut nous rendre la vie belle et nous abuse en nous laissant croire la perte, la maladie, la solitude et la mort injustes, le grand dĂ©fi est d’oser se confronter Ă  la souffrance la sienne et celle des autres en ne s’en protĂ©geant pas. C’est Ă  cette condition et dans le souvenir de cette souffrance commune que nous pouvons nous rencontrer et nous comprendre, comme l’exprime si bien C. Bobin dans le texte introductif Ă  cet article. * Voir Ă  ce propos mon article Oser la colĂšre, oser ĂȘtre vrai avec soi-mĂȘme » © 2013 Renaud & HĂ©lĂšne PERRONNET Tous droits rĂ©servĂ©s. ————– Moyennant une modeste participation aux frais de ce site, vous pouvez tĂ©lĂ©charger l’intĂ©gralitĂ© de cet article 5 pages au format PDF, en cliquant sur ce bouton —————- Pour aller plus loin, vous pouvez aussi lire Le travail de deuil L’enfant et la mort J’ai peur que ma petite fille de 5 ans n’ait Ă©tĂ© secouĂ©e par un dĂ©cĂšs Vous pouvez aussi tĂ©lĂ©charger la fiche pratique inĂ©dite Apprendre Ă  se dĂ©tendre 
et regarder la vidĂ©o Pour adultes seulement ÉVOLUTE Conseil est un cabinet d’accompagnement psychothĂ©rapeutique et un site internet interactif de plus de 8 000 partages avec mes rĂ©ponses. Avertissement aux lectrices et aux lecteurs Il est possible que les idĂ©es Ă©mises dans ces articles vous apparaissent osĂ©es ou dĂ©concertantes. Le travail de connaissance de soi devant passer par votre propre expĂ©rience, je ne vous invite pas Ă  croire ces idĂ©es parce qu’elles sont Ă©crites, mais Ă  vĂ©rifier par vous-mĂȘme si ce qui est Ă©crit et que peut-ĂȘtre vous dĂ©couvrez est vrai ou non pour vous, afin de vous permettre d’en tirer vos propres conclusions et peut-ĂȘtre de vous en servir pour mettre en doute certaines de vos anciennes certitudes. Cliquez ici pour en savoir plus sur qui je suis Cliquez ici pour en savoir plus sur Évolute Conseil
Cevendredi 26 aoĂ»t, elle jouera Ă  l’extĂ©rieur, indiscutablement. MarlĂšne Schiappa se rendra Ă  ChĂąteauneuf-sur-IsĂšre, dans la DrĂŽme, dans le cadre de l’universitĂ©

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2910/2011 à 17:04. Bonjour, J'ai 28 ans, je ne travaille pas car je ne sais pas quoi faire, je n'ai pas d'ambition pas de but, pas d'objectif dans la vie. je ne m'intéresse à
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