Lesventes de véhicules dans les cinq principaux pays de l'Asie du Sud-Est (Thaïlande, Malaisie, Philippines, Singapour, Indonésie) sont passées de 1,329 million d'unités à 480.657 entre
C’est à peu près à la moitié de notre voyage que nous quittons l’Asie du Sud Est. Six mois c’est à la fois long et court pour tirer des conclusions, mais nous nous risquons quand même à un petit bilan. Nous commençons par le négatif pour finir par le positif. N’hésitez pas à discuter en commentaires car évidemment notre avis est subjectif et ce n’est pas à travers quatre yeux européens que l’on fait le portrait réaliste d’un pays 🙂 Ce qui ne nous manquera pas Confort et propreté C’était couru d’avance en voyage, et ça ne nous a pas gênés tant que ça, mais parlons-en quand même. Nous avons vécu quelques moments de solitude en arrivant dans des chambres déjà occupées et dans lesquelles nous devions pourtant dormir. Très grosses araignées, cafards asiatiques non non, pas le petit cafard noir bien de chez nous, le gros truc de 5cm orange et dodu, vers dans les salles de bain, fourmis, punaises de lit, moustiques, souris… Les invités que nous aimons bien, ce sont les geckos, ces petits lézards très mignons qui mangent les indésirables. Être piéton en Asie Marcher dans les rues des villes d’Asie du Sud Est n’est pas de tout repos. Mieux vaut regarder où on met les pieds car beaucoup de trottoirs sont défoncés ou tout simplement inexistants. Il y a beaucoup de poussière au sol, parfois des gravats et des déchets. Souvent le trottoir est composé de plaques de béton sous lesquelles passent les égouts. Il suffit qu’une plaque aie cédé pour devoir éviter de profonds trous potentiellement dangereux. En plus de ces inconvénients, les piétons n’ont jamais la priorité. Les plus gros s’imposent avant les autres camions et bus puis voitures, motos, vélos et piétons. Dans ces conditions, on a plutôt intérêt à redoubler de vigilance et à courir si un véhicule arrive quand on traverse. Il nous est arrivé plusieurs fois de marcher et de voir une voiture ou une moto se garer juste devant nos pieds, nous devions alors contourner le malotru. En tant que français nous avons tendance à penser qu’il s’agit là d’un manque de civisme mais il semblerait qu’ici ce soit normal ! 🙂 Les rapports commerciaux Dans ce voyage, nous portons l’étiquette touristes », mais nous aurions aussi aimé porter les étiquettes personnes », voyageurs » ou visiteurs » aux yeux des locaux. Le problème de l’étiquette touristes », c’est qu’elle s’accompagne d’un signal sonore constant que nous traînons comme un boulet et qui fait schling schling schling jaaackpot !». Et ce bruit là , certains l’entendent bien. Il y a des rencontres touchantes, humaines et émouvantes avec les gens, heureusement ! Mais en réalité la plupart des locaux que nous côtoyons sont liés à l’industrie du tourisme. Nous avons besoin de leurs services comme ils ont besoin de notre argent, c’est normal. Ce que nous regrettons, c’est que souvent nous nous sentons résumés à notre porte-monnaie et pour peu que nous refusions une transaction, nous ne représentons plus aucun intérêt pour la personne en face de nous, qui de sympathique devient indifférente voire, dans de rares cas, carrément méprisante. Nous nous souviendrons de scènes épiques à la sortie des bus alors que nous n’avons pas encore posé le pied par terre, il y a déjà dix rabatteurs qui nous sautent dessus, sont prêts à prendre nos sacs et à nous mettre dans leur taxi sans nous laisser le choix tout en essayant de proposer un prix démentiel. À force nous avons appris à nous en sortir, mais quand nous débarquons fraîchement avec notre politesse, notre peur de froisser et de mal faire, nous cédons facilement à ces ventes forcées. Une autre chose qui nous a exaspérés parfois si la négociation n’aboutit pas avec un vendeur, il va s’empresser d’aller menacer les autres vendeurs pour qu’ils ne discutent pas avec nous. En procédant comme cela, il nous empêche de négocier avec d’autres et nous oblige à n’avoir que lui comme interlocuteur. Discrimination C’est une question que nous nous sommes souvent posée et c’est un de nos grands sujets de discussion. Il est extrêmement fréquent pour ne pas dire constant en Asie que les étrangers payent plus que les locaux même beaucoup plus !. C’est peut-être au Myanmar que nous nous sommes sentis vraiment excédés par ces pratiques qui au bout d’un moment peuvent aller jusqu’à nous dégoûter. Si les tentatives d’arnaques ont eu lieu partout, on peut s’en sortir sans trop de difficulté et avec une bonne négociation pour un prix correct. Au Myanmar, nous sentons très nettement la frontière locaux/touristes et certains birmans pratiquent un prix au faciès » franchement indécent. Ils nous prennent pour des distributeurs et nous demandent des sommes folles 20€ pour 3 km en taxi, bien plus cher qu’à Paris ! Après une âpre négociation nous parvenons à payer 2 ou 3€, preuve que nous étions en train de nous faire pigeonner, mais c’est encore au dessus du prix local. Il est difficile de négocier avec les birmans travaillant dans le tourisme et tous de mèche pour appliquer des tarifs délirants. Ce qui nous a fatigués c’est de sentir qu’ils tiraient sur la corde des prestations très moyennes et des prix de plus en plus élevés. Bref, nous nous sommes sentis discriminés du fait de nos origines occidental rime avec argent. En réalité cet argument ne tient pas les touristes ne sont pas tous les mêmes, certains voyagent avec très peu quand d’autres profitent et se font plaisir. Ensuite, quand bien même nos niveaux de vie sont différents, on n’aurait pas idée dans les pays occidentaux d’appliquer des tarifs variables en préjugeant des revenus de chacun. En France, le prix du restaurant ou du ticket de bus ne change pas en fonction de vos origines. Enfin, les inégalités étant parfois fortes en Asie du Sud-Est, certains locaux sont beaucoup plus fortunés que nous, et pourtant ils payent le prix local. À vrai dire, nous en sommes venus à nous poser la question du racisme. Farang, bule… racisme ? Farang est un mot utilisé pour désigner les occidentaux dans certains pays, par exemple en Thaïlande. Ce serait un mot neutre, d’après les Thaïs, ou du moins un mot utilisé gentiment. N’empêche que nous ne nous sommes pas sentis à l’aise avec ce mot, ne sachant pas ce qu’il signifie vraiment dans la tête des locaux. C’est un mot qui marque la différence, la couleur de peau. Le mot bule prononcer boulé » est quant à lui très connoté. Il signifie albinos et est utilisé en Indonésie pour désigner les étrangers blancs. Nous n’avons pas du tout apprécié ce mot, même si finalement nous ne l’avons entendu que rarement. En faisant quelques recherches sur le sujet, nous sommes tombés sur le commentaire d’un expatrié français en Indonésie qui décrit le pays comme foncièrement raciste. Son point de vue est intéressant et a participé à nous faire prendre du recul sur la société indonésienne. D’autres mots sont utilisé pour désigner les étrangers. En Thaïlande il y a par exemple un mot pour désigner les indiens, les turcs ou les arabes. Un autre mot désigne les noirs, et un autre les chinois. Ces mots seraient plus ou moins connotés voire offensants. Il y a même des expressions locales pour les blancs radins », c’est à dire nous les touristes blancs à petit budget qui vont dans les chambres d’hôtes pas chères et mangent local. Peut-être qu’en Asie l’intention n’est pas mauvaise lorsque les locaux nous appellent comme ça. Toujours est-il que ça marque bien une frontière, une différence, une limite à ne pas franchir, et que cela nous a blessé. Nous serions contents d’en parler avec des lecteurs qui connaissent mieux le sujet que nous, car honnêtement nous ne savons qu’en penser. Sur le panneau Droits d’entrée pour le parc national de Ko-Phi-Phi – Thaï 20 bhats – Thaï ressemblant à un chinois 40 bhats – … – Mi-Thaï mi-farang qui ressemble à un farang 200 bhats – … – Farang seul avec un grand nez 500 bhats. » Manque de respect et de considération Une anecdote au Laos nous avons acheté deux places pour un trajet en minibus, plus confortable que le bus local, car pour une fois nous avons envie d’être à l’aise. Comme souvent, le vendeur a vendu plus de places que le nombre de sièges disponibles dans le minibus. Comme l’essentiel des clients sont des voyageurs avec chacun un gros sac, nous nous retrouvons quinze personnes avec quinze sacs pour douze places dans le minibus. Le chauffeur nous fait un numéro du style Oh, mince, pas de chance, j’ai vendu plus de places que je n’en ai sans faire attention ! Vous allez devoir vous serrer je suis navré ! ». Il fait le trajet tous les jours, et visiblement tous les jours il escroque des touristes qui se retrouvent comme des sardines alors qu’ils ont payé un prix supérieur pour être à l’aise. Cette fois nous ne sommes pas d’accord. Il n’arrive pas à caser tout le monde avec les sacs, se prend la tête entre les mains, veut qu’on s’asseye dans le coffre pour mettre les sacs sur les sièges, c’est un non sens total. Nous nous rebiffons et au final un voyageur réussira à caser tout le bazar en mode Tétris dans le minibus. Le chauffeur n’aura fait aucun effort. Nous sentons un manque de considération flagrant de sa part et ne comprenons pas pourquoi le service acheté ne peut être rendu de façon correcte. Les déchets Les déchets en Asie du Sud-Est font partie de la première impression que l’on se fait du pays c’est sale. En effet, à l’exception extrême de Singapour, il y a des déchets partout dans les rues, dans les rivières ou sur le bord des chemins. Il y a quelques disparités entre les pays mais en général les gens ont une forte habitude de tout jeter par terre. Lors des trajets en bus, tout ce qui n’est pas mangé est jeté par la fenêtre bouteilles, sachets de chips ou sacs plastiques. Dans certaines villes cela ne se voit pas trop, car un effort est fait pour nettoyer les trottoirs, très souvent par les commerçants et les habitants eux-mêmes. Mais dès que l’on sort des rues, le spectacle fait mal au cœur des tas de détritus amoncelés ça et là et qui ne seront sans doute pas enlevés avant des années. Car il y a beaucoup de travail à faire pour changer les habitudes, très fortement ancrées dans la société. Le geste de jeter par terre est normal. C’est comme si en France nous attrapions un cheveu sur notre vêtement et que nous le lâchions par terre. C’est normal, quasi inconscient et tout à fait accepté par la société. Eh bien en Asie du Sud-Est, ce n’est pas un cheveu mais un sac poubelle que vous pouvez lâcher par terre. Nous en avons discuté avec Alessia et Marco, un couple d’italiens expatriés qui tiennent un restaurant à Kampot au Cambodge. Pour eux il est compliqué d’apprendre à leurs filles à ne pas jeter par terre alors que tous les enfants autour d’elles le font très naturellement. Signe encourageant, le travail de changement des habitudes a déjà bien commencé, avec de nombreuses poubelles dans certaines villes, ou des panneaux de sensibilisation pour inciter les gens à ne pas jeter par terre. Mais le chemin est long. Le traitement des animaux En plus des éléphants, des gibbons et des ours dont nous parlions dans l’article précédent, il faut dire que les autres animaux sont rarement traités avec empathie en Asie du Sud-Est. Par exemple au Vietnam les chiens sont battus à mort pour être mangés, sans considération pour la souffrance endurée cela attendrirait la viande. Au Laos nous avons observé un petit garçon jouer avec un chiot toute la journée. Comme beaucoup d’enfants il était un peu cruel avec l’animal, au point que le chiot tremblait de peur. Dans nos cultures il aurait été recadré par les parents, mais pour les siens c’était quelque chose de normal. L’image vient de l’article du blog Seth et Lise » sur la viande de chien et de chat au Vietnam. Si nous en restons là , vous allez croire qu’il n’y a que des points négatifs à ces pays et que nous passons une année horrible 🙂 Bien au contraire, nous ressortons d’Asie du Sud-Est avec un sentiment globalement très positif. S’il est plus facile de discuter des choses que l’on n’aime pas, nous allons tout de même essayer de vous montrer ce que nous avons aimé. Ce qui va nous manquer et qu’on importerait bien en France Le Food Court C’est un espace aménagé, généralement au sein d’un centre commercial mais pas forcément, dans lequel chacun peut choisir un repas différent et s’installer à une table commune avec ses amis. L’espace tables » est entouré par une flopée de petits restaurants ayant chacun leur spécialité. Par exemple vous venez avec un végétarien, un fan de burgers et un adorateur du sushi, chacun va chercher son plat et se retrouve à la même table. Ça ressemble au concept de cafétéria mais avec beaucoup plus de variations culinaires japonais, indien, grec, chinois, légumes vapeur, brochettes, jus…. En Asie du Sud Est bien souvent les prix sont dérisoires et la nourriture excellente. On peut prendre tout ce qu’on aime ! Des gyozas, deux brochettes de poulet, des légumes, un jus de fruit frais et bon appétit ! Nos meilleurs food courts Maxwell à Singapour et Fifth Avenue du centre commercial MBK de Bangkok. La gastronomie Continuons sur notre lancée la nourriture asiatique est vraiment très variée, souvent très savoureuse et raffinée. Le Vietnam est le seul pays où pas une fois nous n’avons mangé occidental, tellement la cuisine était bonne. De la cuisine vietnamienne nous retenons les pho, les banh mi, les roses blanches, les banh cuon… Finesse des saveurs, plaisir et légèreté sont au rendez-vous. La cuisine de Malaisie et de Singapour nous a charmés également c’est un beau mélange de cuisines chinoises, indiennes, malaises, portugaises. La Malaisie est le pays de la mixité pour sûr. La cuisine thaï est riche et savoureuse le pad thaï, le riz gluant mangue et coco, les currys, les fruits mixés… De beaux petits plats à refaire. Du Cambodge, nous retenons l’amok, un plat de poisson en sauce curry-coco avec du riz, excellent. Le seul inconvénient de toutes ces cuisines, c’est que c’est parfois assez pimenté… La bonne nouvelle, c’est que maintenant nous fourmillons d’idées et de recettes à refaire en France ! La gentillesse des asiatiques Si elle n’est pas toujours désintéressée, la gentillesse des asiatiques est constante. Jamais nous ne nous sommes retrouvés en galère totale, seuls au monde sans personne pour nous aider. Il y a toujours quelqu’un pour vous renseigner, vous aider à trouver un transport, un hôtel ou une information manquante. C’est un des revers du tourisme de masse en réalité les locaux qui travaillent dans le milieu chauffeurs de taxi, tuk-tuk, rabatteurs… sont tous disponibles pour vous et vous aiguillent sans difficulté – souvent vers leur propre business mais au moins nous sommes aidés. Dans tous les pays que nous avons traversés, nous avons aussi fait de très belles rencontres et avons échangé avec des gens curieux et qui nous approchaient avec plaisir. Nous nous souviendrons de ce papi cambodgien qui nous a raconté sa vie dans les marais salants autour d’un coca, de M. Dasimun en Indonésie qui nous a invité une journée dans ses cours d’anglais et qui nous a fait rencontrer une tigresse, de cette birmane qui nous a expliqué la gastronomie locale juste par plaisir, et de bien d’autres encore. La sécurité Pas une fois nous ne nous sommes sentis en danger où que ce soit, en ville ou en campagne. Les gens ici ne veulent aucun mal aux visiteurs et à vrai dire, les risques en Asie sont plutôt liés au trafic routier accidents, nous en savons quelque chose qu’à de potentiels agresseurs. Les seuls moments de tensions que nous avons pu vivre avec des locaux concernaient des rabatteurs un peu plus pressants que d’autres et que nous avons fuit sans souci. Autre danger les animaux moustiques paludisme, chiens rage, singes voleurs !. Rien à signaler de majeur de ce côté là pour le moment. 🙂 Les paysages et les senteurs Nous emporterions volontiers avec nous des petites portions de plages thaïlandaises, de lagons indonésiens, de baie d’Along vietnamienne et des rizières de Bali en France. Les paysages sont un régal pour les yeux ici et continuent de nous émerveiller. Mis à part la nature, les constructions humaines ont aussi leur charme Bouddhas, temples, pagodes, stupas, mosquées… Autant de beaux bâtiments emprunts de zénitude asiatique agréable à regarder. S’il y a bien une chose que nous ne pouvons pas partager avec vous, ce sont les senteurs. Humer le mélange d’encens et de poussière dans les rues a quelque chose d’unique que l’on ne trouve qu’ici. Certains arbres parfument l’atmosphère, comme les frangipaniers, qui produisent une jolie fleur jaune pâle et délicieusement odorante. Dans les campagnes, nous respirons l’odeur des animaux de fermes et des feux de bois. Les mauvaises odeurs sont fréquentes aussi égouts, rivières polluées, gaz d’échappement… Elles ne font pas plaisir aux narines mais restent gravées dans la mémoire et font partie intégrante du voyage et des souvenirs. Voilà pour notre petit bilan qui nous a donné du fil à retordre et a suscité pas mal de discussions ! Depuis que nous sommes partis tout se passe bien et ce ne sont pas quelques points négatifs qui nous retiendrons de revenir en Asie. Avec tous les articles positifs publiés ces derniers mois, nous espérons bien vous avoir fait rêver et vous avoir donné envie de venir dans ces pays !
Voyagesavec les enfants en Asie du sud est : Bali, Vietnam, Malaisie, Philippines, Sri Lanka, Thaïlande Passeport Dans tous les cas, pour voyager en asie du sud est, il faudra un passeport pour toute la famille et valable 6 mois après la date du vol. Pour information, les passeports pour les enfants sont moins chers, mais ne sont valables que 5 ans contre
Cet article fait partie de la série Technomades » qui dresse le portraits de blogueurs sans frontières qui parcourent le monde et parviennent à concilier leur passion du voyage avec une activité professionnelle, montrant qu’il est possible de l’exercer de n’importe-où grâce à internet. Julie et son compagnon ont parcouru l’Asie du Sud-est pendant 6 mois. Mais en travaillant ! Une première pour eux. Et une première expérience de technomade réussie. Une aventure qu’ils ont raconté sur leur blog buzztrotter. Bonjour Julie, pourrais-tu te présenter ? Dans quel domaine, toi et ton ami travaillez-vous ? Bonjour Fabrice, j’ai bientôt 30 ans mais chuuut et je suis rédactrice web depuis 4 ans après un parcours en agence de communication à Paris et Bordeaux. Vincent est développeur web depuis pas mal d’années aussi. Nous avons créé nos sociétés il y a 4 ans, chacun de notre côté par souci d’indépendance. Pourquoi être parti six mois ? Et dans cette région ? Nous sommes à la base de grands » voyageurs avec cette envie d’aller voir ailleurs, de découvrir d’autres cultures. Résultat, de mon côté je m’étais toujours dit que je voulais un jour partir plus longtemps que les 3 semaines réglementaires… En parlant avec Vincent, nous nous sommes rendu compte que nous avions la même envie, donc 6 mois, c’était déjà pas mal pour commencer. Nous avons décidé de partir en Asie, parce qu’on avait tous les deux apprécié nos voyages par là -bas et que nous avions des connaissances dans certains pays. Étiez-vous déjà parti avant, sans travailler en voyageant ? Oui bien sûr, de mon côté j’ai fait la Chine, Bali, le Sénégal, le Canada, le Brésil 2 fois, le Maroc, la Tunisie et bien d’autres. Vincent a fait le Venezuela et le Cambodge, mais il a vécu en Espagne et en Angleterre pendant un peu plus d’un an à chaque fois. Pas le même parcours voyage », mais la même envie d’aller voir plus loin. Combien d’heures de travail par jour ? C’est difficile de voyager et travailler. Je suis parti 6 mois dans cette région en 2009 je n’étais pas blogueur alors, et j’avais trouvé que c’était bien au niveau du temps. Je repartirais maintenant, alors que je suis digital nomade, il est clair que cela serait bien différent…. Nos journées étaient découpées de la façon suivante le matin nous nous baladions à la fraiche », c’est le moment de faire un maximum de visites ou de loisirs et l’après-midi nous travaillions. Comme la plupart du temps il faisait très chaud l’après-midi, c’était parfait pour rester au frais avec la clim’ des cafés ou des hôtels. Le soir, soit on allait se balader marché de nuit… soit on travaillait selon s’il y avait beaucoup à faire ou pas. On a gardé ce rythme tout au long des 6 mois. En fait, êtes-vous plutôt des travailleurs qui voyagent ou des voyageurs qui travaillent ? Alors pour ma part je dirai que je suis une voyageuse qui travaille et Vincent dirait plutôt qu’il est un travailleur qui voyage J Mais en fait étant donné la façon dont nous avons géré nos 6 mois je crois, que quand même on reste intrinsèquement des entrepreneurs qui voyagent ! Les rencontres sont-elles moins nombreuses lorsque l’on travaille et voyage en même temps ? Je dirai qu’elles sont différentes ! Nous étions partis dans le but de visiter les coworking spaces dans les pays où nous étions, résultat nous avions contacté plein de monde avant. Entre les expatriés qui travaillent dans le web, ceux qu’on a rencontré dans les espaces de coworking et les autres qu’on croise, comme tout voyageur, dans le bus, sur un bateau… En fait, nos rencontres étaient à l’image de notre voyage. Quels ont été les côtés les plus difficiles à gérer niveau boulot ? La motivation et les connexions internet. Ce sont vraiment les deux points qui peuvent faire vaciller le travail. La motivation, car parfois on a envie de suivre les personnes croisées dans leur périple et de ne faire que la partie loisir et détente » alors qu’on a du travail, que face à la mer ou la piscine il est difficile de se raisonner. Mais nous y sommes arrivés ! Et puis la connexion internet, très changeante d’un pays à l’autre, nous avons même quitté le Laos plus vite que prévu, car les conditions n’y étaient pas. Comment vous-vous êtes adaptés aux aléas ? Des exemples ? Les coupures de courant au Cambodge ont été nos pires ennemies… Car le courant pouvait être coupé pendant toute la journée où nous étions et cela chamboule pas mal le programme. Le mieux est de le prendre avec philosophie, comme tu dis, ce sont les aléas du voyage, on s’adapte, on travaillera plus le lendemain. À part ça, nous avons eu de la chance, on a rencontré peu d’aléas, sauf la dernière semaine qui nous a un peu poussé à rentrer. Toujours au niveau boulot, qu’est-ce qui t’a paru en définitive plus facile ? Le nombre d’idées de business qu’on peut avoir, c’est assez impressionnant. Le fait d’être loin permet d’avoir du recul sur pas mal de choses et notamment la façon de travailler. Résultat, on est super productif. C’est surtout cela qui m’a plu ! On travaille moins en terme d’heures, mais tout est plus huilé, on va à l’essentiel, pas de coup de téléphone pour casser le rythme ou autre. Dans quels pays il a été le plus facile de travailler ? Du moins au niveau connexion ? Mis à part la Corée du Sud! C’est clair que la Corée du Sud a été le plus simple et nous pensions que le Japon ça allait dépoter aussi, mais en fait non… Comme tout le monde a un smartphone, ils ne mettent finalement pas beaucoup de wifi à disposition pour les autres ou alors payant et cher. L’hôtel était donc le meilleur endroit pour travailler. La Thaïlande a été finalement le meilleur pays pour travailler, aussi bien pour les connexions tout à fait correctes, que pour l’ambiance, les cafés wifi qui fourmillent… Des conseils pour ceux qui veulent se lancer dans l’aventure ? De ne pas hésiter et de partir, même 1 mois cela vaut le coup ! Se préparer un peu à l’avance surtout quand on a une société, on ne part de la même façon que pour un simple voyage. D’ailleurs, je suis en train d’écrire un livre pour tous ceux que cela intéresserait* et qui voudraient avoir nos astuces dans les pays qu’on a traversés. De ne pas négliger la prospection à distance et son réseau qui pourront être d’une aide précieuse pour décrocher des missions, même loin. De prévenir ses clients de son départ, certain seront très intéressés pour vous suivre et la relation devient encore plus sympa ! Alors, cette expérience vous a-t-elle motivé pour continuer ce mode de travail ? Bien sûr, d’ailleurs quelque part on le fait encore, car on n’a pas récupéré notre appartement J Résultat on est toujours avec le sac à dos et les bons plans pour loger chez les uns et chez les autres ! Sans rire, oui on va continuer, mais peut-être différemment, à l’image des mini-retraites préconisées par Tim Ferris, partir 1 semaine ou 10 jours mais plus régulièrement… *Tenez-vous au courant de la sortie sur
Mêmesi cela semble tentant, il faut garder à l’esprit qu’un imprévu est vite arrivé, et qu’il est préférable de disposer de quelques mois de validité en plus pour son passeport. Si votre passeport est valable pour 1 mois après la date de votre retour, vous pouvez vous rendre au Canada , en Nouvelle-Zélande et en Afrique du Sud.
Deux potes, et deux mois de vacances, c'est parti pour un roadtrip en Asie du Sud Est. Au programme, Thaïlande, Laos, Vietnam et Cambodge. 50 jours, 5000 kilomètres, 2500 photos, 6h de vidéo et d'innombrables souvenirs. Si l'on doit résumer ce périple en quelques minutes, cela pourrait donner ce qui suit en vidéo. Vidéo du road trip de deux mois, en Asie du Sud Est Le parcours Voici un résumé de ce road trip, avec les articles correspondants aux différentes étapes de notre voyage. Partis de Paris, nous sommes arrivés à Bangkok, en plein coeur de la jungle urbaine thaïlandaise. Découvrir Bangkok Nous avons choisis Bangkok principalement pour des raisons pécuniaires, les vols en provenance de France étant très nombreux, les prix semblent donc être moins élevés que les mégalopoles des pays voisins. Arrivés à Bangkok, vous aurez donc à trouver des moyens de vous déplacer, ils sont nombreux et pas toujours simple à choisir... De Bangkok, nous avons été visiter l'incontournable cité d'Ayutthaya et ses temples d'une beauté rare. Temples d'Ayutthaya, en Thaïlande À une heure et demie de train de Bangkok, il serait dommage de ne pas y aller. Découverte du Laos, les vrais backpackers Après un passage assez bref par Vientiane au Laos où nous avons notamment effectué notre demande de visa vietnamien, nous sommes partis à Vang Vieng. Au programme tubbing, balade à moto dans les magnifiques paysages environnants. De là , nous somme partis visiter la charmante ville de Luang Prabang, puis nous avons décidé de remonter le Laos en bateau, jusqu'à Muang Khua. 3 semaines au Vietnam Nous avons rejoint le Vietnam où nous sommes passés par Diên Biên Phu, puis par la charmante ville de Sapa, où l'on peut trekker dans des rizières faisant rêver, et dormir chez l'habitant. Ensuite, direction Hanoi, ville animée, dans laquelle le couvre feu est de rigueur... Ou pas. La baie d'Ha Long étant un incontournable, nous nous y sommes rendus, tout en évitant de tomber dans les pièges touristiques classiques. Dans le but de rejoindre l'ancienne cité impériale de Hué, nous avons eu recours à notre premier sleeping bus, pour un voyage d'une durée de 19 heures. Heureusement que l'on peut parfois un peu dormir, et que l'on rencontre des gens géniaux avec qui on partage un bout de route par la suite ! Cité impériale de Hué De Hué, il faut prendre le train pour rejoindre Danang, c'est semble-t-il la plus belle portion de la ligne de train Hanoi - Saigon. Danang ressemble à une grande station balnéaire moderne, bordée d'immeubles, et donc sans grand intérêt. En revanche, 30 kilomètres plus au sud, la charmante ville de Hoi An se fera un plaisir de vous accueillir. On s'y repose volontiers quelques jours, pendant que des costumes sur-mesure peuvent vous être confectionnés. Il est temps de reprendre la route pour le sud, et la station balnéaire de Nha Trang. Prévenus de l'intérêt médiocre que représentait cette ville, nous nous y sommes seulement attardés une journée, le temps de visiter quelque peu la ville et d'observer à quel point les Russes en ont fait une de leurs destinations touristiques favorites. Ici, avant de traduire les panneaux en Anglais, on les traduit en Russe, c'est dire ! Neuf heures de train suffisent ensuite pour rallier Saigon, immense ville du Sud du Vietnam, dans lequel des visites incontournables telles que le musée de la guerre du Vietnam sont à faire. Plus au sud, nous avons été visiter les marchés flottants traditionnels de Can Tho. Remonter le Mékong en bateau Puis, nous avons pris un bateau en partance de la ville de Chau Doc, dans le but de rejoindre Phnom Penh en remontant le Mékong. Changement d'ambiance au Cambodge, le pays semble moins développé que ses voisins, et les terribles souffrances endurées par la population sous le régime de Pol Pot dans la fin des années 70 ont laissé des cicatrices qui ne se referment pas en si peu de temps. La visite du camp de torture S-21 ainsi que des killing fields sont deux moments très émouvants, ayez le coeur un peu accroché. Visite des temples de Siem Reap Pour finir sur une note plus gaie, nous avons ensuite passé trois jours à Siem Reap pour découvrir les magnifiques temples se trouvant à Angkor, symboles de toute une époque prospère, sous l'Empire Khmer. Tout ce joli périple n'aurait certainement pas eu la même saveur si il n'avait pas été accompagné de quelques bières, dans l'optique de comprendre si oui ou non, la bière est universelle, et si elle est réellement bon marché en Asie du Sud Est. Ou dormir en Asie du Sud Est ? Il est généralement très facile de trouver des guesthouses bon marché au fil de l'eau, mais pour certaines destinations un peu plus touristiques, il est parfois plus utile de prévoir un peu en avance. Toploc propose par exemple des hébergements en Thaïlande, et plus généralement en Asie du Sud Est, que vous pouvez découvrir directement grâce à la carte ci-dessous. FAQ Pour donner un peu plus d'informations concernant la préparation d'un tel périple, je listerai ici les réponses que j'ai pu fournir par email ou autre biais à des lecteurs. Maude Je suis intéressée par le trajet que tu as fait, est-il possible de le faire en 3 semaines / 1mois ? Pour ma part, ce road trip en Thaïlande, Laos, Vietnam et Cambodge m’a pris environ deux mois… Et c'était assez court ! En 3 semaines / 1 mois il va surement falloir choisir. Les distances paraissent souvent ridicules mais les temps de transport sont très longs, et parfois un peu aléatoires. Pour cette durée je te conseillerai plutôt de partir sur deux pays par exemple. Probablement qu’en prenant quelques avions pour réduire les temps de transports il est aussi possible d'en voir plus… Je suis reparti en Thaïlande d’ailleurs, et j’y ai passé trois semaines pour réellement prendre mon temps de découvrir le pays. Xavier Pour les vols internationaux, vous aviez choisi Bangkok car mieux desservi et moins cher ? Vous aviez prévu un retour avec billet modifiable au cas où ? Oui on avait pris Bangkok pour le côté financier. Je n'avais pas pris de billet modifiable car j'avais un impératif et savais que je devrais être revenu à une certaine date. J'ai vu que vous avez pris un vol intérieur, tu t'y prends à l'avance ou bien vous avez pris les billets sur place ? On avait été forcés de fournir une preuve de sortie du territoire thaïlandais, au moment de notre décollage à Paris... Pas très cool, donc on a acheté un vol intérieur un peu en catastrophe, sinon, ça aurait surement été au dernier moment. Le passage de frontières, en venant de Thaïlande , cela ne pose pas de problèmes ? Si tu viens par la voie terrestre ça peut être un peu long, les gars aux frontières vont demander quelques dollars de plus juste pour te laisser passer... Pour faire simple c'est plutôt corrompu. Soit tu acceptes de payer quelques dollars de plus soit tu prends ton temps ; Margaux Quelles sont les choses à bien penser ? Personnellement je suis parti avec un sac à dos un peu trop plein. Il vaut mieux à mon gout partir très léger, c'est très facile par exemple de laver ses habits, à peu près partout ! Sans compter sur le climat, pas besoin de pull sauf pour les bus de nuit beaucoup trop climatisés. Quelles sont les arnaques à éviter ? Les arnaques il y en a beaucoup, surtout dans les endroits touristiques. Si vous allez a Bangkok soyez vigilants, c’était le pire j’ai trouvé. Il faut juste réfléchir un peu et tout se passera bien. Certes les prix sont moins élevés qu'en Europe, mais si un taxi vous offre un prix 5 fois inférieur à ceux que vous avez pu entendre, c’est probablement une arnaque - Quand quelque chose semble trop beau pour être vrai, il vaut mieux probalement reconsidérer la situation. Est-ce qu'il est important de réserver à l'avance les trajets en interne ? Les trajets en interne je dirai quelques jours à l’avance si vous voulez prendre le train en Thaïlande ou des sleeping bus au Vietnam. Sinon, pour la plupart des trajets plus “locaux”, cela peut facilement se faire du jour au lendemain. Faut il avoir de L'argent en liquide sur nous ? L’argent liquide c’est toujours utile, mais je ne préfère pas avoir plus de 150EUR en liquide sur moi, on ne sait jamais. Un bon conseil peut être de voyager avec une carte VISA et une carte MasterCard, certains endroits n’acceptent que l’une des deux... Cristina Pour les visas, tu les as fait bien avant en France ou tu les as fait sur place dans chaque pays ? Pour ce qui est des visas je les ai fait en arrivant sur place dans chaque pays, sauf pour le Vietnam ou je l’avais fait à l’ambassade du Vietnam au Laos. Je me souviens aussi que se munir de dollars US est nécessaire pour ces formalités au Laos et au Cambodge, en plus ils sont globalement bien acceptés, donc pratique au cas ou. En Thaïlande pas besoin de visa si tu y restes moins de 30 jours. Plus d'infos sur Marie Est-ce tu avais un parcours et un programme bien établi ou tu penses qu’il est préférable de voir sur place ? Pour ce qui est de la préparation, j’avais planifié le trajet dans sa globalité, sans pour autant m’imposer de réservation pour me laisser de la liberté de mouvement au jour le jour. Je suis convaincu que chacun a sa manière de voyager, je ne suis pas un grand anxieux et je gère généralement en planifiant uniquement 2-3 jours à l’avance ce que je vais réellement faire. Rencontrer d’autres gens qui voyagent très facile dans ces pays permet aussi échanger des combines, et d’en apprendre plus sur les prochains endroits a ne pas manquer... Céline Comment t'es tu organisé pour les hébergements ? Pour ce qui est de l’hébergement, le plus pratique et économique est généralement l’hostel guesthouse, il y en a énormément et généralement je ne réserve pas, sauf dans le cas d’une arrivée tardive par exemple. Ne pas réserver permet aussi de comparer et d’avoir la liberté de négocier un peu le prix. Il est très facile de gagner 30-40% sur le prix de cette manière, même en étant un assez piètre négociateur. Quel est le budget à prévoir sur place ? Pour ce qui est du budget, j’ai entendu certaines personnes qui voyageaient pour environ 400€ par mois. Personnellement je me situe plus autour de 700€ par mois en restant assez basique. Tout cela reste bien entendu extremement subjectif, chacun ayant des notions de confort ou des activités bien différentes ;- J'espère que ce petit tour d'horizon de préparation d'un road trip an Asie du Sud Est aura sur vous convaincre de partir, ça vaut le coup, et pour nous ce fut une expérience mémorable ! Photos Gaël
LAmérique du Sud fait souvent partie d’un itinéraire tour du monde et, tout comme en Asie du Sud-Est, il est possible d’y séjourner pour quelques euros par jours. Voici donc le top 5 des pays les moins chers en Amérique du
EnsembleArticle réservé aux abonnésHongkong sous le joug de PékindossierDe Bangkok à Rangoun, en passant par Hongkong, une partie de la jeunesse étudiante entend défier les pouvoirs autoritaires et monarchiques et réinventer la Bangkok, en Thaïlande, lors d'une manifestation le 21 octobre. Sopa Images/LightRocket via Getty Imagespar Carol Isoux, correspondante à BangkokIl est devenu banal, ces derniers mois, de voir des portraits d’Aung San Suu Kyi dans le quartier du palais royal à Bangkok ou brandis lors de manifestations hongkongaises. En Birmanie, en Thaïlande et à Hongkong, la jeunesse se soulève, pour des raisons diverses mais dans un même élan et selon des techniques similaires. Grâce aux réseaux, ces mouvements à forte dominante étudiante, se connaissent et se soutiennent. En Thaïlande, dans les modestes rassemblements en faveur de la libération des étudiants incarcérés, dont deux sont actuellement en grève de la faim, qui ont lieu chaque jour dans l’indifférence générale, on croise souvent de jeunes travailleurs Birmans.Les étudiants thaïlandais nous ont aidés lors du coup d’Etat, ils sont venus manifester devant l’ambassade, maintenant on soutient aussi leur cause», explique Sithu Khant …
AsieOnline - 25 Boulevard des Martyrs Nantais de la Résistance, 44200 NANTES | Siège social : 1 Beauregard, 44120 VERTOU - .50 - contact@ Où voyager en Asie et au Moyen-Orient ?
Un voyage en Inde est envoûtant, initiatique, fascinant par la diversité infinie des paysages, traditions et monuments. Palais de maharajahs, forteresses mogholes et sanctuaires foisonnants, des cités de grès du désert aux plateaux lunaires du Ladakh ou aux méandres des backwaters... c’est un festival de couleurs et de senteurs qui s’offrent à vous. Nos conseillers spécialistes du sous-continent indien ont sillonné le pays pour partager avec vous leurs bons plans, leurs adresses secrètes, leurs idées d’excursions, et élaborer de nouveaux circuits en Inde et combinés de destinations, kaléidoscope de contrées magiques et de moments inoubliables. Et si vous ne trouvez pas le voyage Inde de vos rêves, ils construiront votre itinéraire à la carte, pour un voyage sur mesure en Inde ou un voyage de noces en Inde synonymes d’évasion, de culture et de raffinement. Goûtez aux plaisirs de séjours trépidants dans les grandes mégapoles indiennes Delhi, Bombay, Madras, Calcutta, leur foule incessante, leur énergie grisante, leur passé florissant... En Inde du Nord, visitez des cités fascinantes et incontournables Jaipur, capitale historique du Rajasthan ; Udaipur la blanche ; Jodhpur et ses ruelles bleues ; Jaisalmer qui apparaît comme un mirage doré dans le désert du Thar ; Agra et son célèbre Taj Mahal, mausolée d’éternité ; Khajuraho, joyau classé au patrimoine mondial de l’Unesco... Dans le Gujarat, terre natale de Gandhi, plongez au cœur des plus belles expressions des arts rajpoute, musulman et jaïn... Assistez au Ganga Arti dans la ville sainte de Bénarès, émouvant rituel hindou en l'honneur de la déesse Gange... Découvrez les temples les plus extraordinaires en Odisha, terre de pèlerinage baignée par le golfe du Bengale..En Inde du Sud, lâchez prise dans les parfums de poivre et de cannelle du Kerala, le temps d’une cure de jouvence basée sur le yoga, la méditation et l’ayurveda... Admirez les splendeurs de l'art islamique, les chefs-d’œuvre de l’art médiéval indien, les temples finement ciselés et grottes rupestres du Karnataka... Profitez des charmes et contrastes du Tamil Nadu, entre modernité, vestiges coloniaux et traditions tamoules, lors d’une étape à Pondichéry ou Madurai...Se laisser bercer par la douceur de vivre de Goa sur un air de fado... Partir en croisière sur les flots de la vallée du Gange, fleuve légendaire et sacré entre tous... Déguster les saveurs délicates du thé le plus raffiné de l’Inde à Darjeeling, là où les grandes expéditions se lancèrent à l'assaut des plus hauts sommets de l'Himalaya... S’immerger dans l'ambiance Bollywood dans un cinéma local... Autant d’expériences qui font d’un voyage en Inde le plus dépaysant des périples. Lire la suite
Pournotre voyage de 11 mois en Asie, par les pays suivants : Chine, Vietnam, L’inde du Sud, plus touristique, sera un petit peu plus chère. Sachez que le salaire moyen en Inde est de 40€ par mois. – Il est
Forum Où et quand partir ? 2 réponses Dernière activité le 13/09/2019 à 0717 consulter Itinéraires Où et quand partir ? Signaler Gunray Le 08 septembre 2019 Bonjour à viens vers vous afin de vous demander conseils et partons en Asie du Sud Est avec mon ami fin octobre pour une durée de 6 mois .Nous avons la vingtaine et n'avons pas peur de la seraient selon vous le meillleur itinéraire afin de découvrir ce continent en 6 mois ?Nous avons tous les 2 les ressources financières suffisantes, mais auriez vous une idée de budget moyen ? Merci d'avance VOYAGES EN TRAIN Correspondance entre Lyon et la gare TGV St-Exupéry HÔTELS Séjours en hôtel 4 & 5* à -70% HÔTELS Séjours en hôtel 4 & 5* à -70%
Entre2018 et 2019, Dominique, Manon et leur fille Noémie, alors âgée de 3 ans, ont voyagé à vélo en Asie du Sud-Est. Leur périple débute au sud du Vietnam, passe par le Cambodge, le Laos et enfin la Thaïlande.Leurs bicyclettes bardées de sacoches avec des choses plus ou moins utiles, ils se sont élancés dans une région du monde qu'il leur était alors inconnue.
Après avoir muri ce projet de voyage pendant plus d’un an et suite à plusieurs mois de préparatifs enfin 2 semaines pour Max, nous y voilà ! Nous sommes partis le 27 septembre 2019 pour environ 4 mois. Au programme Bali, Cambodge, Birmanie, Thaïlande et Philippines ! Plutôt alléchant n’est-ce pas ? Bon finalement, on sera parti 6 mois 1/2, on a rallongé notre séjour aux Philippines et on a ajouté le Vietnam. Et malgré ça, c’était dur de rentrer. Pour les mordus de voyages et de découvertes, vous pouvez suivre nos aventures et nos galères sur ce site plutôt bien fait d’ailleurs comprenez ce n’est pas nous qui l’avons fait. Ayant écrit cet article sur Les préparatifs », après être partis merci aux vols low cost sans film, ne vous attendez pas à grand chose ! D’ailleurs nous n’avons pas la plume de Shakespeare, on a donc misé sur l’humour enfin voilà quoi !. Vous l’aurez compris, aucun de nous deux n’a fait des études de comm’. Pourquoi ce voyage ? Après avoir déjà vécu chacun 6 mois à l’étranger, Max à San Francisco en stage de fin d’études et Olive à Melbourne en tant que fille au pair, on s’est dit que le prochain long voyage c’était ensemble jusque là rien de choquant. Niveau timing professionnel, c’était le moment idéal. Olive finissant son CDD et Max souhaitant revenir sur Lyon après 6 ans passés à Genève. Coucou les collègues, on pense bien à vous Mouhahaha !. Etant des fans inconditionnels de bouffe asiatique et n’ayant pas un énorme budget, l’Asie du sud-est nous a vite conquis. Voilà un topo rapide et ouais, on n’a pas que ça à faire sur tous nos préparatifs Le programme truc de fille, Olive à la barre Après son retour d’Australie en avril 2017, la p’tite caille Olive s’est penchée directement sur le sujet Max cherche encore l’Asie sur la map. On s’est calé sur un voyage de 4-5 mois faut bien bosser quand même. On a donc choisi 5 pays Bali oui, on sait que ce n’est pas un pays -> Cambodge -> Birmanie -> Thaïlande -> Philippines. Quelques sites en vrac qu’on donc Olive a utilisé pour faire les programmes de chaque pays Google map lol Le guide du routard la base Lonely Planet Planificateur à contre sens notamment pour les climats et le budget 213 blogs de voyage précision exige On est donc parti avec le billet d’avion pour Bali, quelques affaires et les 4 premières nuits. On a un ordre d’idée sur les dates et ce qu’on va faire sur place mais ce sera certainement adapté en cours de route. Les équipements Sac-à -dos Olive Osprey 2-en-1 Fairpoint 70, le petit sac se fixe sur le gros, ce qui évite d’avoir un sac devant et un derrière. Mais cela reste possible, avec l’option de fixer les bretelles du petit sur celle du gros comme si bien démontré sur la photo ce qui permet d’avoir les mains libres. MAJ après plus de 6 mois avec ce cas, les 2-en-1 ne m’a pas du tout convaincu. Rapidement le petit sac ne se fixait plus si facilement sur le gros et dans tous les cas c’était bien mieux de répartir le poids total avec un sac à dos à l’avant. J’aurais également préféré avoir plus de poches dans le sac. Max en avait pas mal et c’était vraiment pratique. Max Décathlon Travel 500 70L + V8 équipement DPB 35L étanche en secondaire. Vêtements et chaussures Olive Doudoune légère Imperméable 8 x hauts dont 1 manches longues 2 x hauts de sport et 1 veste technique 4 x bas 2 shorts et 2 leggings 3 x soutiens-gorge dont 1 de sport 7 x culottes 2 x maillots de bain 2 x paires de chaussures trails et tongues 2 x serviettes microfibre 1 douche et 1 plage 1 x couvre cou/tête Trousse de toilette Savon et shampoing dur Machine à laver portable merci les collègues, kiss love + 1 corde si jamais ça se passe mal Drap de soie sac à viande Sac à linge sale de Décathlon troooop pratique Lunettes de vue une vraie taupe + soleil pour avoir l’air cool sur les photos pochette imperméable pour les documents importants Max Doudoune légère Imperméable 10 x hauts 2 de sport et 1 manches longues 4 x bas 2 shorts 8 x boxers 1 x short de bain 1 x paire de chaussures multi-activités Salomon Sense Ride légère et très confortable 1 x paire de tongues 2 x serviettes microfibre 1 douche et 1 plage 1 x trousse de toilette Savon et shampoing dur 2 x lunettes de soleil 1 x casquette 1 x couvre cou/tête Drap de soie sac à viande Sac à linge sale pochette imperméable pour les documents importants Astuces Elastiques pour cheveux afin de maintenir nos vêtements roulés, pour de gagner de la place Brassard pour smartphone, pour le GPS quand on est sur le scooter, situé sur l’avant bras du passager Pour ranger tout ce bord**, on a acheté des sacs qui permettent de compartimenter nos affaires c’est quand même notre maison pour 4-5mois. Matériel électronique truc de bonhomme, bon bah… vas-y Max Appareils photos Un reflex Panasonic Lumix GH5 vidéos/ralentis et photos pour Max Un compact Sony HV90X photos et selfies pour Olive on ne bosse pas tous en Suisse Drône DJI Mavic pro GoPro Hero 5 black Perche stabilisée Feiyu G5 Poignée flottante GoPro Trépied Bendy XSories Filtre rouge snorkling GoPro Bose Mini Soundlink pour s’ambiancer entre palmiers et mer turquoise Ordinateur portable + Ipad mini 2 Batteries externes 3 adaptateurs universels 1 Kindle pour Olive Max ne sait pas lire Trousse à pharmacie à titre indicatif Répulsif moustiques Compresses stériles Antiseptique cutané Pastille de désinfection de l’eau et Paille filtrante LifeStraw Paracétamol Smecta et anti-diarrhéique ton organisme n’est pas si costaud que ça Anti-nausées genre si t’as copine te soule trop Anti-paludisme 3 solutions existent, mais aucune parfaite, à discuter avec votre médecin Est-ce qu’ils vont se muscler pendant le voyage ? Olive poids total des sacs 13,6kg avec l’ordinateur Max poids total des sacs 17,6kg Vaccination ça pique Il nous semblait important de consulter un médecin spécialisé. Nous sommes donc allés au centre de vaccination internationale et maladies tropicales de Croix-Rousse à Lyon. On a d’abord eu un RDV avec un médecin pour voir quels vaccins nous allions faire. Après avoir fixé le calendrier des vaccins, c’était directement avec les infirmières pour toutes les nouvelles piquouzes. Pensez à bien anticiper la question vaccins par rapport aux différentes injections. C’est un poste de dépense qui fait mal. N’hésitez pas à solliciter votre mutuelle, qui peut en prendre une partie en charge c’était pas notre cas, bien sûr. Voici les vaccins que nous avons fait Rage 3 injections J-1, J-7 et J-21. On a hésité mais finalement ça aura bien servi à Max ! Typhoïde 1 injection Encéphalite Japonaise 2 injections J-1 et J-28 Hépatite A 1 injection L’assurance santé Il est indispensable d’avoir une assurance surtout quand on est poissard, suivez mon regard, celles incluses parfois dans les CB ne suffisant pas pour ce type de voyage longue durée. On est donc parti avec GObyAVA. Ils ont une formule long voyage appelée Plan Santé AVAnture » avec des garanties qui correspondaient à ce qu’on souhaitait. Le contact et la souscription ont été très faciles. Assurance non utilisée à ce jour ça fait 10 jours et on espère qu’elle le restera fingers crossed. On vous tiendra au courant si jamais bande de sadiques. Voici leur site pour plus d’info Cartes bancaires Après avoir lu plusieurs articles, on a choisi La CB d’Olive LCL option retrait et paiement gratuit à l’étranger pour 5€/mois. C’est une MasterCard. La CB Revolut paiement sans frais bancaire et retrait gratuit jusqu’à 200€/mois. La carte est gratuite et le compte s’ouvre rapidement. L’application est facile d’utilisation. Et c’est une VISA, ce qui permet d’avoir 2 types de carte en cas de soucis. On devait aussi avoir une Boursorama MAIS Olive a réussi à se tromper dans l’adresse de livraison. Elle n’a pas reçu la carte ni les identifiants, qui te permettent d’accéder à ton compte pour modifier ton adresse. Ce n’est donc pas la bonne adresse, et pour la changer il faut des identifiants que tu reçois par courrier, mais tu ne le reçois jamais puisqu’ils n’ont pas la bonne adresse. Vous suivez ? Bref, on a jamais reçu la carte à temps avant de partir. Pour savoir quelle CB prendre pour un long voyage, on vous conseille cet article. Backstage le plus relou C’est tout ce que nous avons du faire avant de partir dont certains le matin du départ, parce que ouais on est ultra organisé. Résiliation/suspension première ligne et je m’ennuie déjà … Internet. Pensez à le faire un peu en avance, il faut souvent renvoyer la box. Mobile. Chez SFR par exemple, c’est 4,5€/mois pour suspendre son abonnement. Assurance habitation. Il faut parfois envoyer un courrier de résiliation, renseignez-vous directement auprès de votre assurance. Assurance voiture. Idem. Eau EDF. Possible sur l’application directement ou par téléphone très rapidement. Salle de sport. Par exemple Olive est inscrite à l’Appart » à Lyon et elle a pu suspendre son abonnement pendant 2 mois et ensuite passer à la formule la moins chère jusqu’à nouvel ordre. Démission/congé sabbatique hell yeah! Rendre son appartement et stocker ses meubles ultra facile quand comme nous, tu as 2 appart Report du courrier/changement d’adresse. Permis de conduire international ou pas, hein Max! A très vite pour un nouvel article Olive t’as du job, Kiss,
Troismois, voilà une période de temps parfaite pour découvrir à la fois le Rajasthan, la vallée du Gange, la région autour de New Delhi et le nord du pays. C’est exactement le trajet que j’avais fait lors d’un voyage en 2008. Un sacré souvenir.
Forum Tour du monde 8 réponses Dernière activité le 08/09/2017 à 0349 consulter Vie pratique Tour du monde Signaler Le 03 mars 2009 Bonjour à tous! Je suis nouvelle sur ce site et j'aurai besoin d'infos de la part de tous les routards qui ont eu la chance d'aller en Asie pour plusieurs mois! Voilà mon projet est de partir avec mon ami en aout 2010 pour 6 mois et faire plusieurs pays d'asie à priori, ce sera tout d'abord l'indonésie, puis remonter par la malaisie, puis avion jusqu'à hanoi vietnam, laos, thailande, birmanie, Inde du nord et Népal; Oui, je sais ça fait beaucoup pour six mois mais c'est dans notre idéal... Bref, je souhaiterai savoir pour ceux qui ont déjà fait cette expérience comment ils se sont organisés et par ou commencer? Notament par rapport au visa, faut-il tous les demander avant de partir? Combien prévoir sur place et pour les billets d'avion? Quelles sont les pièges à éviter et le plus important à savoir avant de partir? Merci beaucoup pour vos réponses! bye VOYAGES EN TRAIN Correspondance entre Lyon et la gare TGV St-Exupéry HÔTELS Séjours en hôtel 4 & 5* à -70% HÔTELS Séjours en hôtel 4 & 5* à -70%
Voyageen Asie du Sud Est : les 10 plus beaux TEMPLES et lieux sacrés. Cette vidéo présente très brièvement une sélection de temples d’Asie du Sud-Est que nous avons particulièrement appréciés lors de notre voyage de 6 mois. En passant par la Thaïlande, Bali, le Vietnam, la Birmanie et le Laos, découvrez ces temples vénérables.
.Vous voulez vraiment savoir ? Bon, 6 mois oui, mais 6 mois en ASE dont 4 mois en Thaïlande, en fait, pour être Partis le 2 janvier par LuftHansa, nous avons commencé par une grande boucle à partir de Chiang Mai via le Triangle d'Or voiture de loc- Le 18 janvier, passage au Laos à pour une sympathique petite croisière jusqu'à Luang Prabang. Grandes balades avec un chauffeur francophone pour aller à Mueang Ngoï puis la Plaine des Jarres- Le 29 janvier, un coup d'avion pour Siem Reap au Cambodge. Grande boucle à partir de SR avec un chauffeur anglophone pour voir le côté est Mondulkiri et Ratanakiri avec une pointe jusqu'à Kampot-Kep et retour Siem Reap- Le 27 février, retour Bangkok par avion. Direction côte sud-est pour 3 jours à Koh Samet puis 10 jours à Koh => Bangkok aéroport le 17 mars pour l'avion de retour...Vous avez dit quoi ? Le ? Le 17 mars ? Ben... le Covid qui démarre à Mulhouse, pas de bol, notre destination, premier jour du 1er confinement... Je réussis à reporter notre retour par internet pas de comptoir LuftHansa à Suvarnabhumi. On appelle nos amis de Chiang Mai qui ont un petit resort avec 3 bungalows; ils comprennent aussitôt et nous enjoignent de venir chez eux "en attendant des jours meilleurs"... On reloue une voiture et on fait tranquillement le trajet vers "La Rose du Nord", Chiang Mai, où on va passer 84 jours non prévus, nourris, logés, blanchis, chez d'excellents amis connus en dois dire que nous nous sentions en parfaite sécurité. Après nos 2 semaines de confinement chez nos amis, nous avons pu circuler librement en voiture et à moto, bien sûr de nombreux commerces étaient fermés, seuls subsistaient les restaurants avec du "take away", les stations services, les pharmacies, les grandes surfaces pour la nourriture. A chaque endroit il fallait mettre le masque, se laver les mains, se faire prendre la température. Le pays s'est totalement et hermétiquement fermé en entrées et en sorties, très peu de cas de contamination à comparer aux chiffres pense qu'en rentrant le 18 mars, on courait au suicide, faisant partie des personnes vulnérables...De report en report, on a fini par rentrer le 11 juin. quasiment 3 mois imprévus dans la région de Chiang Mai, c'est top !Voilà dans les grandes lignes, notre année 2020. Mémorable, comme pour tout le monde, j'imagine, mais pas du tout dramatique pour nous !Vous voulez des photos ? Bon, j'en ai environ 1500... laissez-moi faire un tri et un choix, ahah !A bientôt
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6 mois en asie du sud est