ycorve Membre de confiance Bonjour, Est-ce que vous pouvez m’expliquer comment se présente un qi de dyslexique, est ce que la mémoire de travail est bien au dessous de la norme ou pas ? Je pensais aujourd’hui avoir l’aide nécessaire de l’équipe pédagogique et la je viens d’avoir un entretien avec le médecin scolaire elle n’a même pas voulu remplir le dossier mdph, elle ne lui a pas fait de test concernant l’écriture et la lecture, elle lui a juste fait faire un test de graphisme et c’est tout. Elle m’a dit que je ne devais pas aller dans un centre référent, que je devais juste contacter un neuropédiatre Elle m’a dit que ma fille avait des blocages et qu’elle avait un qi bas et qu’elle devait aller en clis c’est tout. Je lui ai répondu que de toute façon, il était normal qu’elle soit bloquée puisqu’elle n’arrivait pas à trouver ces mots pour parler, elle avait dû mal à accéder au lexique du vocabulaire ce qui a été prouver dans les tests de la neuropsychologue. Elle me dit qu’elle est inhibée, je lui ai répondu que moi aussi j’étais inhibée et très timide lorsque j’étais petite et que cela ne m’avait pas empêchée de réussir à l’école et d’être une bonne élève. Que ma fille a eu un suivi psychologique en moyenne section, qu’ensuite je suis allée consulter un pédopsy et que lui m’a dit qu’elle n’avait pas de problème psychologique… Je lui ai demandé également comment on pouvait expliquer par la psychologie une petite qui perd des infos régulièrement, elle n’a pas su me répondre…. Elle a noté sur la feuille jaune remise par le centre référent que ce n’était pas urgent. Voila, je ne sais plus comment faire ….. Quote Topic starter Posté 04/01/2011 337 mag30 Membre estimable il est très difficile d'avoir un test de QI "fiable" pour un dys puisque ses problèmes faussent les résultats et puis le QI ça ne veut pas dire grand chose, l'intelligence ne vaut que par ce qu'on en fait faites faire un bilan complet par une neuropédiatre ou au centre de référent, au moins vous aurez à faire à des gens qui connaissent le problème RépondreQuote La psy scolaire est un peu rapide dans son analyse, il vous faut un vrai diagnostique neuro en libérale ou centre référent. Quoiqu'il arrive faites confience à votre fille et à vous même. Si vous avez survécu à l'école, votre fille le peu encore mieux avec votre soutien. Pour ce qui est de la CLISS, il faut une reconnaissance de handicape, les places sont cher, alors si vous ne le voulez pas elle n'ira pas. En attendant il faut que la maitresse face le neccéssaire pour accompagner votre fille sans souffrance. Ne pas la brusquer à l'oral, pour lui redonner confience et la laisser exprimer au mieux ses connaissance. GENE RépondreQuote ycorve Membre de confiance OUi je trouve aussi qu elle est un peu rapide, elle m'a dit que les médecins scolaires étaient normalement en gréve donc cela explique peut être son conportement je ne sais pas... Moi je ne suis pas contre le fait qu elle aille en cliss mais j'aimerai avant qu elle soit diagnostiquée pour savoir si elle a besoin de d'autres thérapies puisqu elle a des prb de mémoire à court terme et à long terme et savoir ce qui est le meiux pour elle. Toujours est il ,qu elle est actuellement en échec total à l'école, maintenant elle a quand même la dame du rased qui l'accompagne mais depuis peu. La dame du rased a dit qu elle avait de gros prb de compréhension et de mémoire immédiate et qu'elle était dyscalculique. Merci gene at mag pour vos réponses et Bonne année 2011 à toutes RépondreQuote Topic starter Posté 04/01/2011 512 Un QI de dyslexique n'a pas de présentation particulière, on y retrouve cependant quelques caractéristiques comme par exemple un QI verbal inférieur au QI performance. C'est pourquoi les résultats d'un bilan WISC ou autre pour évaluation d'un QI d'une personne dyslexique ne doivent pas être interprétés par n'importe quel professionnel ! La mémoire de travail peut être en dessous de la norme. Chaque individu est différent. Votre enfant est-il suivi par un orthophoniste et si oui êtes-vous en possession d'un bilan de langage oral et écrit récent ? D'un bilan suit à un test de logico-mathématique ? Si vous n'en avez pas, je vous conseille de faire passer ces bilans à votre enfant. Sachez qu'on ne peut vous obliger en ce qui concerne l'orientation de votre enfant. Le plus important est de faire passer à votre enfant les bilans nécessaires et appropriés et ensuite de les faire analyser par des professionnels compétents afin qu'un diagnostic officiel vous soit donné pour aider votre enfant. Sachez que ce n'est pas au médecin scolaire de remplir votre dossier mdph. C'est au médecin qui suit votre enfant dans le cadre de ses troubles dys. Si vous souhaitez passer par un centre référent, renvoyez le dossier au centre référent sans la petite feuille jaune. Fournissez un maximum de photocopies de cahiers de votre enfant mettant en avant ses problèmes scolaires. Ajoutez les bilans orthophoniques s'ils sont évocateurs de troubles. Si non, vous pouvez passer par un neuropédiatre en libéral. Amicalement. Message édité par LAC / 04-01-2011 1702 RépondreQuote ycorve Membre de confiance Merci LAC Je commencai à me poser des questions par rapport à la norme parce que d'aprés le médecin scolaire, ma fille ne pouvait pas être dyslexique car son qi n'était pas normal! je vais donc faire remplir mon dossier par mon médecin, chercher une autre orthophonniste car celle que jai, travaille en collaboration avec la psychomotricienne,j'aimerai trouver une orthophoniste qui lui fasse passer des tests d'écriture et de lecture car sa lecture est plus ou moins fluide son écriture est paticulière elle inverse des lettres en recopiant ses devoirs par exemple vigilant devient viligant, ciel -ceil,apprenti/apprendi elle a les trois carectéristiques fusion- confusion-omission. Je vais également suivre vos conseils ne pas envoyer la feuille jaune puisque celle çi n est pas obligatoire et apporter toutes les preuves nécessaires. Je demanderai à l'orthophoniste qui la suit si elle est spécialiste des maths, je ne suis pas sûre..... RépondreQuote Topic starter Posté 04/01/2011 608 Que vous alliez en centre référent ou chez un neuro en libérale, il faut que vous vous munitiez de tout vos bilans. Orthophonique, logicomathématique, orthoptie, éventuellemnt ORL et le test QI et un cahier scolaire représentatif de son travail. Pour le centre référent, les délai sont long, vous pouvez appeler dès à présent pour constituer le dossier approprié et être inscrit sur liste d'attente. En attendant il faut que l'enseignante accompagne au mieux votre fille pour limiter sa souffrance. Respecter sa réserve et l'interroger dans des condition approprié sans l'humilier. GENE RépondreQuote ycorve Membre de confiance Malheureusement sa maitresse est la directrice et elle n'est pas très pédagogue, elle dit elle a besoin d'une evs et c'est tout, l'aiutre jour elle a déchiré la feuille de sa poésie car elle ne l avait pas copié en colonne. bref je ne sais pas très bien la cerner Elle a également un maître celui ci est plus gentil Concernant les neurpédiatre en privé, il faut demander à l'apedys de notre région ?? RépondreQuote Topic starter Posté 04/01/2011 635 Oui, ou l'orthophoniste, le bouche à oreille. Plus vous aurez de bilan moins ça coutera cher. Si la maitresse continue de maltraiter votre enfant, vous pouvez faire faire un certificat médicale par votre médecin. Vous retirer votre enfant de l'école 1 semaine et faite un courrier à l'inspection d'académie. Souvent ça ouvre l'esprit des enseignant un peu obtue. Il n'y a rien de tel qu'un enseignant mal embouché pour démolir un enfant. Soutenez votre enfant, c'est la meilleur méthode pour faire des progrès et conserver la confience en soit. Pour obtenir une AVS l'année prochaine, il faudrait monter un dossier MDPH avant fin mars, voir février. GENE RépondreQuote Il me semble que vous pouvez trouver un neuropédiatre en milieu hospitalier. Expliquez les difficultés scolaires et la souffrance de votre enfant et dites qu'il y a suspicion de dyslexie. Peut-être même voir avec le centre référent de votre région s'ils ont des coordonnées de neuropédiatre à vous transmettre. Les confusions que fait votre fille en recopiant sont assez caractéristiques des dys... Quant à demander à un dys de recopier en colonne... Cela peut-être un exercice de haute voltige pour certains enfants dys ! La directrice de votre enfant semble en tout cas bien peu informée au sujet des dys. C'est regrettable lorsque l'on sait le pourcentage d'individus dys et donc le nombre d'enfants dys passé et qui passera encore dans sa classe... Un EVS est recruté par l'école et n'a pas le même rôle qu'un AVS-I. Je vous transmets le lien du site GEPALM site des orthophonistes ayant une spécialité en rééducation logico-mathématique afin que vous puissiez trouver une orthophoniste dans votre "coin" qui puisse faire passer à votre enfant un bilan dit de logico-mathématiques Pour tous les bilans orthophoniques, il vous faut une ordonnance de votre médecin traitant précisant le type de bilan "bilan de langage oral et écrit" ou "bilan logcio-mathématiques" + la formule "avec rééducation si nécessaire". Amicalement. RépondreQuote ycorve Membre de confiance c'est une bonne idée, je sais que ma fille a peur de sa maîtresse par contre elle aime bien son maître.... donc quand elle a peur, elle se replie et commet encore plus d'erreurs ce qui me semble logique.... J'ai une autre question quel est l'orientation après une clisscomment les enfants sont orientés par la suite ? RépondreQuote Topic starter Posté 04/01/2011 702 Je vous dirais qu'il est difficile de répondre à votre question, les textes officiels n’abordant pas ce sujet de façon exhaustive. Ils soulignent cependant la nécessité d’une révision périodique de la situation de chaque élève en général de façon annuelle. C'est donc en fonction des aptitudes, des progrès de votre enfant que son orientation sera décidée. Prendre donc le temps de bien réfléchir, nécessité de disposer des bilans, de pouvoir bien évaluer les difficultés d'apprentissage et donc d'avoir une bonne connaissance des troubles s'il y en a ; ceci afin de mettre en place au plus vite tous les aménagements ainsi que les rééducations pouvant aider votre enfant dans sa scolarité. Après la CLISS si TSL ULIS, SEGPA et en étant optimiste classe ordinaire. La question de l'orientation me semble néanmoins prématurée. Attendez donc un diagnostic officiel posé par des professionnels compétents. Ensuite, vous pourrez plus aisément vous poser les bonnes questions. Amicalement. RépondreQuote ycorve Membre de confiance je suis tout à fait d'accord concernant l'orientation, il faut d abord que j ai de posé un diagnostic précis la concernant pour que je puisse savoir quelles aides sont ne faut pas mettre la charue avant les boeufs comme on dit..... La maîtresse ne connaît pas du tout les dys, c'est sûr Je n'ai ni confiance en la maîtresse ni en la psychologue scolaire, seulement confiance en la dame du rased, c est la seule qui m'a défendue d'ailleurs lors de la réunion pédagogique mais je ne sais pas si je peux lui demander ce qu'elle pense de la psychologue scolaire, je pense que tous ces gens travaillent ensemble, c est difficile, je suis toujours suspicieuse face à ces gens, c'est d'ailleurs ce qui me protège des erreurs à commettre mais en même temp c'est difficile d'avancer d'une façon optimale. Je vais essayer de demander de consulter une neuropédiatre en privé mais il demande systématiquement une évaluation de l'école et j'ai dû mal à savoir s'ils vont me fournir le papier où pas ,il y a seulement la dame du rased qui m'a répondu positivement, c est la seule qui a l'air de comprendre véritablement ... Les autres n'ont pas l'air très coopératifs, bref c'est vraiment un perpétuel combat. RépondreQuote Topic starter Posté 04/01/2011 756 Un petit courrier du maitre et de la personne du RASED expliquant les difficultées de votre fille et son attitude suffit pour le neuro. Pour obtenir plus de compréhension de la maitresse, dite lui que c'est pour une AVS l'année prochaine s'il ny a pas de possibilité de CLISS. Même si c'est un mensonge, c'est un argument qui peut faire mouche. Je n'ai jamais eu besoin de courrier de l'école pour un bilan neuro, un cahier représentatif suffit. Biensûr, s'il y a suspission de trouble de l'attention un questionnaire sera proposé aux enseignant. Demander les tarifs au neuro, ainsi que le contenu de l'évaluation dyslexie, dyscalculie, dysphasie, dyspraxie, trouble de l'attention, test QI et les bilans dont il a besoin. GENE Pour ce qui est du travail ensemble, il se serre les coudes mais ils sont loin de réussir à travailler ensemble. J'ai hélas toujours passé au dessus de leur têtes pour obtenir un accompagnement correct pour ma fille. Le but est simplement d'obtenir leur signatures quand il le faut, il l'a donne quand ils le faut si ça n'augmente pas leur travail. Biensûr, il ne faut pas généraliser, mais il y a trop de cas comme le votre et le mien. RépondreQuote ycorve Membre de confiance MERCI Gene Je n'aurai pas penser à cela, c'est très judicieux de votre part Oui je m'apercois que c est difficile d'apporter de l'aide et d'être écouter, il y a très peu de gens qui sont vraiment objectifs et humains... RépondreQuote Topic starter Posté 04/01/2011 1004

Toutefois vous pouvez consulter directement certains spécialistes pour un certain nombre d’actes : gynécologue, ophtalmologue, stomatologue, psychiatre ou neuropsychiatre (pour le suivi des jeunes

Uninternaute s'est posé une question similaire à la vôtre il y a quelques jours. Vous pouvez consulter la réponse apportée par notre expert Pierre dans ce topic "remboursement psychomotricité". Pour les soins qui ne sont pas remboursés par l'Assurance Maladie, vous avez la possibilité de faire une demande d'aide financière.

J’ai besoin d’une thérapie. Oui mais….C’est facile de s’y perdre entre toutes ces compétences PSY chologiques partagées par ces professions! Voici les différences principales! Étant médecin, le psychiatre est le seul à pouvoir prescrire des médicaments. Il peut également prendre en charge des maladies psychiatriques plus sévères qui nécessitent une prise en charge ailleurs, la consultation d’un psychiatre peut être prise en charge par l’Assurance Maladie, à l’inverse de celle d’un psychologue. Thérapie avec un psychiatre Le psychiatre est un médecin qui s’est spécialisé en psychiatrie. Contrairement au psychologue, le psychiatre a suivi des études de médecine, et il est apte à délivrer des médicaments ou un arrêt de travail, si nécessaire. Il peut proposer différentes méthodes de traitements thérapeutiques ou médicamenté, selon les cas. Il peut également traiter certaines maladies psychiatriques comme la dépression, l’anorexie, les troubles bipolaires, la schizophrénie, etc… Le psychiatre peut se spécialiser en psychanalyse, ou avoir une formation en thérapie comportementale et cognitive TCC. Il existe également de nombreuses autres spécialités comme la pédopsychiatrie. Thérapie avec un psychologue Le psychologue a un diplôme universitaire en psychologie. C’est une profession réglementée. La grande différence avec le psychiatre, c’est qu’il ne peut pas délivrer d’ordonnance médicale et qu’il n’a pas fait d’études de médecine donc il n’est pas habilité à faire des diagnostics médicaux. Comme le psychiatre, il peut avoir une orientation psychanalytique, en TCC ou autre. À savoir, que la psychanalyse est une thérapie assez longue qui peut prendre plusieurs années. Vous pouvez entamer une thérapie de couple, traiter votre anxiété ou votre dépression, avec un psychologue en consultation par exemple. Il existe également des psychologues spécialisés dans l’adolescence ou des psychologues pour enfant. Si la thérapie seule n’est pas suffisante et qu’une prise en charge médicale est nécessaire, le psychologue vous orientera vers un psychiatre. Inversement, le psychiatre peut également proposer un suivi chez un psychologue à la place ou en complément du suivi psychiatrique. Psychanalyste, comportementaliste, TIPiste Il s’agit de professionnels qui ont suivi une spécialisation psychothérapique spécifique. Toutefois, ces formations, de qualité, sont généralement dispensées par des écoles ou des sociétés savantes, et non pas universitaire. Si le professionnel est psychiatre ou psychologue, le fait qu’il pratique une psychothérapie est un avantage cela signifie qu’en plus de l’enseignement universitaire, il est spécifiquement formé à une psychothérapie. TIPiste Il s’agit d’un professionnel pratiquant la thérapie interpersonnelle TIP. Il peut intervenir dans tous les types de problèmes. De plus, il est quasiment toujours psychiatre ou psychologue condition pré-requise pour s’inscrire dans certains cycles de formation. La TIP est une sur-spécialisation. Psychanalyste /analyste Ce thérapeute n’est pas nécéssairement psychiatre ou psychologue. Toutefois, il bénéficie d’une formation codifiée par les Sociétés Savantes de Psychanalyse, dont le contenu varie selon les tendances, ce qui garantit une base théorique conséquente. Les analystes ont une grande diversité d’exercice selon la théorie qu’ils mettent en pratique lacanien, jungien, freudien etc… Comportementaliste / Cognitiviste / Cognitivo-comportementaliste Professionnel exerçant un type de psychothérapie particulier appelé thérapie cognitivo-comportementale TCC. Il peut intervenir dans tous les types de problèmes. Il est quasiment toujours psychiatre ou psychologue condition pré-requise pour s’inscrire dans certains cycles de formation. La TCC est une sur-spécialisation. Thérapeute familial / systémicien Professionnel exerçant un type de psychothérapie particulier appelé thérapie systémique ou thérapie familiale. Cette thérapie est particulièrement adaptée aux problèmes rencontrés chez les enfants. Il est quasiment toujours psychiatre ou psychologue. La thérapie familiale est une sur-spécialisation. . Psychothérapeute et professionnels moins académiques Thérapeute / Psychothérapeute Cette dénomination est la moins claire. Théoriquement, elle désigne tous les professionnels capables d’effectuer une psychothérapie. Toutefois, jusqu’à récemment, les conditions qui réglementaient le droit de se prévaloir de ce titre n’étaient pas claires. De ce fait, beaucoup de personnes ont pu utiliser ce titre sans pour autant se prévaloir d’une formation reconnue. Pour un professionnel qui peut se prévaloir d’un bagage théorique reconnu, comme un psychiatre ou un psychologue, et qui ajoute psychothérapeute » à ce titre pas de problème au contraire!. Coach / Coach thérapeutique Ce professionnel intervient pour améliorer les performances du patient dans un domaine bien circonscrit. Le problème, c’est qu’il n’existe pas de formation bien codifiée pour attribuer ce titre. Beaucoup l’utilisent sans support théorique valable. Pour en savoir plus sur le coaching, nous vous suggérons de consulter la page sur le coaching. On distingue plusieurs types de coaching coaching individuel ou en entreprisecoaching de groupeanalyse et audit d’une situation Le coaching est très utilisé en entreprise et aussi très à la mode à titre individuel. Ses apports sont très importants et bénéfiques lorsque le coach est compétent. De nombreuses structures de coaching fleurissent… alors comment se repérer? Comme le titre de coaching n’est protégé par aucun décret, le plus prudent est d’en choisir un qui ait une formation diplômée dans le soin psychiatre, psychologue ou infirmier diplômé. Autres dénominations pour autres types de théraphie Notre conseil méfiez-vous en règle générale de tous les thérapeutes » qui ne peuvent pas se prévaloir d’un titre clairement reconnu. Généralement, quand on a des titres, on les met en avant, donc si on ne le met pas sur sa plaque, c’est qu’on n’en n’a pas… De même, méfiez vous de tous les titres » dont la dénomination n’est pas bien claire. Renseignez-vous d’abord, car beaucoup de dénominations ne garantissent aucune formation particulière. Aucun d’eux ne peut bénéficier du titre de psychothérapeute de droit. psychopraticien ambigu car rappelle le terme de praticien hospitalier médecin. Mais psychopraticien n’est pas médecinfasciathérapeute et fasciapulsologue thérapie manuelle non conventionnelle. Efficacité non prouvée. A ne pas confondre avec la chiropratie et l’ostéopathie, qui ont la énergétique. Ces termes regroupent des exercices non reconnus et dont on n’a pas démontré l’efficacité autre que placebo scientifiquement. Si le terme n’est pas clair, méfiez-vous!! .Professionnels reconnus n’effectuant pas de psychothérapie Psychomotricien Ce professionnel bénéficie d’une formation universitaire régie par l’état. Il intervient dans le cadre de bilans et de prises en charge mettant en lien le psychique et le corps. Il ne dispense aucune psychothérapie, et intervient sur prescription médicale. Ne vous laissez pas tromper par le psy » de la première syllabe! Quel psy choisir pour quel type de thérapie? Trouble de l’anxiété Pour l’anxiété, vous pouvez consulter un psychologue ou un psychiatre spécialisé en thérapie cognitive ou comportementale, souvent utilisée pour ce type de trouble. Parfois, un traitement médicamenteux est aussi nécessaire, et vous pourrez être réorienté vers un psychiatre. Dépression Les deux peuvent prendre en charge des patients dépressifs, mais dans beaucoup de cas des médicaments sont nécessaires pour compléter la thérapie. Dans ce cas, il faut plutôt se tourner vers un psychiatre. Burn-out Si vous êtes surmené à cause du travail, ou burn-out », vous pouvez consulter un psychologue ou un psychiatre pour vous aider à vous en sortir. Mais seul un médecin, tel qu’un psychiatre, peut vous prescrire un arrêt de travail. Votre médecin de famille ou le médecin du travail peut également le faire. TOC Troubes Obsessifs Compulsifs Pour guérir les TOC, les thérapeutes utilisent souvent la TCC, qui peut être pratiquée par le psychologue ou le psychiatre. Si les TOC sont très sévères, un traitement médical peut être prescrit. Il devra être délivré par un médecin psychiatre. Phobie En cas de phobie, vous pouvez d’abord consulter votre médecin de famille pour qu’il vous oriente vers un psychologue ou un psychiatre. Souvent, le patient est orienté vers un psychologue pour suivre une TCC, le traitement par médicament est rarement nécessaire, sauf si la phobie s’accompagne d’autres troubles psychiques. Manque de confiance en soi Le manque de confiance en soi est un problème rencontré par beaucoup de personnes, qu’il est possible de surmonter avec l’accompagnement d’un psychologue. Le psychiatre peut intervenir en cas de troubles du corps et de l’apparence plus profond, comme la dysmorphophobie ou l’anorexie, par exemple. En cas de problème, ne restez pas seul contactez-nous par téléphone pour prendre rendez-vous! Sources Dr Nicolas Neveux, Psychiatre Antoine Besse

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faut il une ordonnance pour consulter un psychomotricien